Vu du surréalisme belge:
Et voilà vous y êtes cher(e)s ami(e)s français(es), il va falloir voter, choisir ou éliminer et surtout arriver au second tour dans lequel 85% des français devront choisir celui ou celle qu'ils(elles) ne voulaient pas. C'est cela choisir en éliminant et encore se mettre la vaseline quand on n'a pas encore soigné les vieilles hémorroïdes. Si voter pouvait changer les choses, ce serait interdit et quand ce n'est pas encore interdit c'est que... Comme quoi on pourrait conclure avec une pointe de surréalisme belge que ceux, celles qui ne votent pas, s'interdisent les hémorroïdes. Ne vous fâchez pas trop vite sur moi.
Alors pour une fois, soyez belges une fois, faites autrement. Si vous aimez Macron, ne votez pas pour lui parce que les gaulois, les gens qui ne sont rien, les borgnes, les matraqués, ceux qui n'ont cessé de traverser les rues vers des portes vides ou fermées seront assez nombreux pour lui pourrir la vie pour un bon moment et il ne devront pas être autant que ceux qui l'aiment pour le mettre dehors avant les 100 jours. Mais si vous ne l'aimez pas, n'hésitez pas, votez pour lui et vous serez contents avant la fin des 100 premiers jours. Et qui plus est, pour une fois, certains articles de Médiapart seront cohérents dans le surréalisme.
Maintenant, je peux vous donner un truc de belchchchc: nous avons eu un premier ministre cucu-la-praline et pour nous en débarrasser, on l'a fourgué à l'Europe... et comme Macron semble se plaire comme prêt-scie-dents de l'Europe, vous savez ce qu'il vous reste à faire. Et puis franchement avec un couple Charles Michel et Emmanuel Macron, on aurait Gaston Lagaffe avec Lagaffe Gaston, de quoi rendre jaloux les Dupont-Dupont.
Tintin, surréaliste?
NB: keep smiling, I'm back.