Je me sens inconfortable de venir défendre ici Edwy Plenel, je ne crois pas qu'il soit nécessaire ici de défendre Edwy Plenel, il est assez grand pour le faire mais ce à quoi j'ai assisté est tout bonnement incroyable et mérite l'indignation, que ce soit pour Plenel ou pour tout autre personne. Giesbert n'a rien commenté du livre, il s'est lancé dans plusieurs tirades d'attaques qui n'avait rien à voir avec le livre, des attaques qui n'étaient que des jugements ex-cathedra de la personne, des affirmations qui ne sont pas des faits mais des suppositions pleines de rage , de hargne imbécile.
Ce Monsieur pose des questions en enfilant une série d'attaques qui ne permettent pas de répondre pour finalement dire qu'on ne répond pas à ses questions. Quand on tente de lui répondre, il se contente d'entendre le sujet, le verbe et l'article du complément pour interrompre, croyant qu'il sait ce que la personne va dire, pour lancer une volée de procès d'intentions, de jugements de valeur, de condamnations sans défenses. Franz-Olivier Giesbert vieillit mal, très mal et son envie de vouloir détruire Edwy Plenel sentait le rance de celui qui dépasse son envie insatisfaite ( envie insatisfaite de pouvoir dire ce que pourrait dire un Edwy Plenel ) par la méchanceté, la malignité pour enfin, s'occulter l'envie insatisfaite. Un Al Carbone de l'esprit en Al Zheimer naissant qui hausse la voix proportionnellement avec l'absence d'argument. Fuyons ceux qui parlent à voix haute, ils pèchent contre l'esprit.
Il y avait une telle ambiance de plomb que Ruquier était complètement dépassé, muet comme une taupe qui se demande où est passé la terre.
Désolé Mr Plenel de venir ici vous défendre mais cela permet que vous ne deviez pas le faire, justement ici et fuyez ceux qui parlent à voix haute.
Je suis désolé de faire mon Franz-Olivier Giesbert pour défendre Edwy Plenel, mais j'en prends l'imperfection pour jouer l'image miroir.
Mr Giesbert, pour savoir manier le glaive avec maîtrise, il faut d'abord s'user au long d'une vie dans l'angélisme car faire ce chemin en sens inverse c'est demander à un Dieu, s'il existe, de reconnaître les siens.
J'ai dit