Giscard est passé de l'autre côté avec, selon les rumeur, une petite pichenette de la COVID. Ce qui va encore augmenter la moyenne d'âge des victimes (84 ans) du terrible virus qui tue - le salaud - moins de 0,5 % des gens en bonne santé ! On reparlera, à ce sujet, on reparlera forcément de ces vaccins qui menacent de déferler de fil en aiguille, à grand renfort de punchlines orchestrées par la tendance mainstream comme le traduirait en langage barbare l'insupportable dc Louis Fouché. Insupportable parce qu'il est jeune et s'exprime comme tel, mais dont la parole mérite d'être écoutée, entendue, voire assimilée (ouvrir si cela vous dit, la vidéo ci-dessous).
Tout prend, il n'empêche, la physionomie d'un film futuriste, avec ses intrigues fantasmagoriques, machinations pharmaceutiques, lobbies capitalistes, ses millions d'ovins apeurés, consentants de tout et ses quelques illuminés complotistes dénoncés par des médias à la manœuvre, soutenant un pouvoir à figure humaine, mais au final issu des ingénieries transhumanistes les plus efficientes. On apprendrait que Macron est en réalité un robot bourré de puces (ce serait l'explication au fait qu'il se gratte sans arrêt les mains) et d'un logiciel de langage extrêmement sophistiqué mais dont la temporalité de l'usage demande encore à être peaufinée. Il aurait aussi un cœur programmé pour s'émouvoir à l'extrême, au point parfois de tirer les larmes de ces yeux bourrés de compassion et de fibres optiques, ainsi d'ailleurs que de ces plus fidèles inconditionnels. Quant à la parole, si notre chien devrait parfois l'avoir, lui en est exagérément pourvu, ce qui l'autorise à prendre possession de la télévision et de faire sa pub à tout propos dans trente millions de foyers.
C'était un peu la spécialité de Giscard aussi. Regarder la France au fond des yeux, tortillant ses fesses posées sur un coin de cheminée, manger chez l'habitant, faire peuple ! Multiplier les "réformes", jurer que désormais le gouvernement de la France serait transparent. Ne serait-il pas un peu le mentor de celui de maintenant ? Je me souviens qu'il s'était imposé pareil en sortant des "finances" cette tête d’œuf qui plaisaient aux gens d'argent et aux femmes mûres… Mais en réalité, il ne se tapait pas que des mûres le VVGE. Il parait que c'était un queutard de première ! Il s'était fait cueillir aussi au petit matin par le Canard Enchaîné après avoir percuté, ça ne s'invente pas, le camion du laitier au volant d'une Ferrari ! Après avoir sûrement choppé la crémière... Plus malin toutefois que le père Hollande sur son scooter. A ceci près tout de même que le copain de la Gayet n'était pas marié ! Pas soutenu non plus par le clergé et la France coincée du cul comme ce sacré lascar. Mais enfin personne n'en sut jamais rien tant... la presse été libre !
De lui, je retiens aussi qu'il était marié à une femme et avait eu deux filles qui portaient toutes des noms de fleurs : Anémone, Valériane et Jacinthe, tandis que les rejetons étaient affublés du prénom des principaux rois de France : Louis et Henri. Il n'aurait donc pas fait la révolution le noblinard mais attention, il a livré la bataille de Paris en 1944 lorsque les Allemands étaient en déroute et il les a poursuivis jusqu'en Allemagne, ces fumiers. Qui sait même s'il ne leur a pas flanqué courageusement quelques balles dans le dos !
On n'oubliera pas les diamants de Bokassa, révélés encore par le Canard qui aura tout de même fait beaucoup pour sa réputation et sa non réélection... Un triple ban pour le palmipède. Et puis quand même, quand même ! pour en finir avec le pédant, saluons aussi cette performance inouïe, d'être entrée parmi les Immortels. Cette Académie française - dont il faut bien souligner l'inutilité crasse - à laquelle il fut admis par le seul fait du Prince d'Ormesson, son valet du Figaro devenu son maître de cérémonie. De comédie. Il entra sans jamais avoir rien écrit d'autre que de tristes niaiseries, là où Molière, Rousseau, Diderot, Flaubert, Balzac, Baudelaire, Maupassant, Zola et tant d'autres avaient été recalés.
Giscard n'avait aucun talent. Surtout pas celui d'écrire et cela semblait bien le satisfaire.
Mais pour ce culot, cet opportunisme qui le caractérisaient, on attend désormais son entrée indiscutable au Panthéon, introduit comme il se doit par son fils spirituel Macron. Un sacré jeune clone...