Jaco 48

Retraité journaliste - Toujours blogueur et encore debout

Nasbinals - France

Sa biographie
Une vie vouée à l'écriture. Journaliste dans le sud par le rugby d'abord (!) Engagé dans le combat pour une société solidaire et fraternelle. Contre le profit, la croissance et le nationalisme. Utopiste paraît-il. Et c'est bien triste....
Son blog
43 abonnés Le blog de Jaco 48
Voir tous
  • Je n'ai plus les mots !

    Par
    Après 10 ans de Pile-chèvre, Macronique et Mélenchronique, je pose la plume. Pour vomir en silence. Sur un pouvoir d'extrême droite ou de nouvelles compromissions honteuses. Je quitte aussi à regret le club de Mediapart qui depuis trois ans et sur plus de de 600 chroniques n'a jamais jugé bon de me placer à la "une" du club... Et au fait : vive l'anti-capitalisme !
  • Merci Macron !

    Par
    Les sondages confirment le bien-fondé du Front Républicain. On devrait éviter la vague brune à l'Assemblée. Mais ce qui nous attend n'est guère plus réjouissant. Un bordel pire qu'avec Bernalicis ou Delogu de LFI... A l'Elysée, Macron prêt à tout et nimporte quoi. Et pour Matignon, voici Ruffin qui nous la joue fine...
  • Retrouver l'honneur d'être vieux

    Par
    Organisé par les rares médias indépendants, les associations, collectifs et syndicats de gauche, le spectacle militant de la République a révélé une belle résistance de la jeunesse et éveillé l'espoir de tous. Peut-être aussi la conscience des vieux...
  • Marine, Première ministre !

    Par
    Et si pour résister au racisme, à la casse sociale et des services publics, on faisait confiance à une femme ? Une combattante héroîque dans sa région Nord rongée par le nationalisme. Une écologiste prénommée Marine... comme un joli pied de nez
  • Une marionnette à Matignon ?

    Par
    La France bien-pensante et celle plus nombreuse qui ne pense pas, font un procés à Mélenchon, au bout de quarante ans de vie publique somme toute honorable, alors qu'arrive un jeune démagogue minable qui prône l'exclusion. La bourse et les financiers en salivent de plaisir car eux n'ont rien à perdre. Contrairement aux pauvres ainsi grossièrement bernés