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pour des meilleures fins de vie dans le respect des directives du patient, droit à une aide active a mourir

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Billet de blog 28 janvier 2014

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

                  SITE:www.aavivre.fr               AAVIVRE ... sa fin de vie,  créée en janvier 2014

Association qui

Accompagne la

Volonté de l'

Individu de

Vivre dans le

Respect de son

Ethique … sa fin de vie

Association régie par la loi du 1er juillet 1901 et décret du 16 Août 1901

siège social : 92, bd de port royal, 75005 Paris 

Bureaux: 25 rue des granges 23500 FELLETIN                    contact@aavivre.fr

 Hubert (dit Pascal) Landa – Garant et Président,

 fils de Michel Landa, fondateur de l'admd, président admd à la mort de son père puis 30 ans administrateur admd.

 en Limousin

La Creuse et ses beautés, pays vert (ses prés et ses forêts) et bleu (ses rivières, ses étangs et ses lacs), parfois enneigé.

Pays de culture et de liberté. Fière d'être creusoise.

Jacqueline Salenson, 25 rue des granges, 23500 Felletin

0 660 951 131 et 0 587 046 234, contact@aavivre.fr

http://jacqueline.salenson.over-blog.com/http://blogs.mediapart.fr/blog/jacqueline-salenson/

 L'AVENIR, il ne s'agit pas de le prévoir mais de le rendre possible. (Saint- Exupéry)

 2014 NOS VŒUX POUR LE SYSTÈME DE SANTÉ ET SES LOIS FUTURES :

  • Nous voulons vivre notre vie jusqu'à la fin selon notre éthique personnelle, le respect de nos choix de vie permettant seul le respect de notre dignité.

  • Nous voulons que nos volontés pour notre fin de vie, dites, redites et de préférence écrites dans nos « directives anticipées », connues de nos médecins et de nos proches,  soient respectées par tous et deviennent opposables dans les lois du système de santé.

  • Nous voulons que les lois permettent sous certaines conditions une aide médicale à l'interruption volontaire  de vie (volonté du « mourant » et de nul autre, directe ou/et anticipée, libre et réitérée, soutenue par sa personne de confiance) lorsque la situation médicale est sans issue.

Rédigez vos « DIRECTIVES ANTICIPÉES », légales depuis 2005, faites-les connaître.

Désignez votre PERSONNE DE CONFIANCE (légale depuis 2002), chargée de les faire respecter.

Vous aiderez ainsi vos médecins et vos proches, vous les libérerez de l'obligation de décider à votre place, si vous n'avez rien dit ni écrit.

Remarques :

"la santé est un état de complet bien-être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d'infirmité".Définition de l'OMS en 1946, relayée par la convention européenne des droits de l'homme.

La santé est liée d'abord à l'environnement social et familial, à la génétique et pour une petite part à la Médecine.

Cessons de parler de « maladie » dont le sens médical est très restreint (une maladie = un diagnostic, une cause, un traitement, connus), pour parler de santé de façon plus générale. On peut être en mauvaise santé sans maladie déterminée.

Tout être vivant est mortel. Nul ne sait ni quand, ni où, ni comment (sauf décision volontaire). On meurt à tout âge et la mort peut arriver alors qu'on est en bonne santé, brutale ou lente. 

LES SOINS DITS PALLIATIFS (accompagnement et soulagement des souffrances) devraient pouvoir être donnés par tous les médecins et à domicile par votre médecin généraliste, c'est le premier devoir d'un médecin, que son client soit guérissable ou pas, qu'il soit « mourant » ou pas. Ils ne doivent pas être réservés à des spécialistes de la mort.

LA MORT VOLONTAIRE est un droit républicain.

LES « DIRECTIVES ANTICIPÉES » sont destinées à faire connaître à nos médecins et à nos proches, nos volontés pour notre fin de vie :

- lieu choisi pour ma mort (chez moi, hôpital, EHPAD, famille d'accueil, etc... )

- décisions prises pour « après ma mort »: testament

- avant ma mort,par rapport aux traitements et soins donnés par la Médecine :

  • j'accepte (ou non) les douleurs et/ou les souffrances morales de la fin de la vie, jusqu'à un certain point (que chacun doit définir)

  • je demande à la Médecine et à mes proches de respecter mes choix personnels de fin de vie:

    • laisser faire la nature, me laisser mourir « tranquille » (pas d'obstination, pas de « machines » qui prolongent la vie ... )

    • prolonger ma  vie au maximum (définir les limites souhaitées, par rapport à l'état de santé et aux souffrances)

    • m'aider à l'abréger, pour soulager mes souffrances morales et/ou physiques, tout en ignorant le moment final (sédation) ou en suivant ma décision volontaire (suicide assisté ou « euthanasie »), dès lors que la Médecine ne peut rien faire pour améliorer mon état de santé déficient.

 AAVIVRE... sa fin de vie, milite pour obtenir que

  • chacun puisse vivre conscient et responsable de son destin jusqu'à son terme; et si besoin faire appel à un professionnel pour l'aider.

  • le système de santé respecte les directives orales et anticipées -écrites- de chacun (directives opposables)

  • tous les Français soient représentés dans leurs différences dans les lois de santé : des lois applicables, simples, pour tous !

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