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Billet de blog 4 décembre 2018

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Le crétinisme écologiste

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Les petits marquis de l'écologie se font entendre aux côtés de Macron et de l'Europe industrialo/libérale.

Eux pour qui la question sociale n'est qu'un détail de l'Histoire manifestement et le bas peuple  une bande de lemmings courant à la catastrophe finale, eux regrettent bien sûr que l'énergie servant au transport aérien, nautique, routier industriel et touristique ne soit pas taxée. Ils en sont très triste.

Par contre ils parlent de catastrophe aujourd'hui quand les salariés, les chômeurs, les retraités demandent une abolition des taxes sur l'énergie qu'elle serve à leur transport, à leur chauffage, comme à leurs besoins domestiques.

Alors qu'ils devraient, s'ils ne restaient confits en crétinisme libéral, exiger eux aussi ces retraits de taxes, et mettre toute leur voix à exiger de faire payer les industries du transports, autant qu'elles sont ; à exiger du gouvernement qu'il finance par une sorte de plan Marschal (souvenons nous de ce qui vient d'être dépensé pour sauver le système bancaire) la conversion écologique des moyens de transports individuels, et collectifs : citadins, ruraux.

Car aujourd'hui comme disait un gilet jaune "on me propose cent euros pour m'aider à changer de fenêtre quand je ne les ai même pas pour remplir mon frigo au quinze du mois".

Nos écolos et leur bouffon de Dany, ne nous enjoignent pas comme Marie-Antoinette de manger de la brioche quand il n'y a plus de pain, mais du bio parce que la malbouffe est énergivore.

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