Jacques-Marie Bourget

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Billet de blog 3 décembre 2017

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FAITES EXCUSES!

ERRATUM DANS LE BLOG PRECEDENT "BALLES TRAGIQUES"

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Emporté en aveugle par le destin qui m'entraine, c'est à dire l'amitié de pensée qui me lie à mes amis du dite Le Grand Soir, j'ai repris à propos de la jeune entrepreneuse en bijoux Pauline Laigneau, héroïne de France 2 contre Mélenchon, des informations publiées par mes confrères. J'ai eu tord, pour une fois elles étaient fausses. Le Soir était-il trop grand ils se sont égarés sur une homonyme. Donc qu'il soit clair que Pauline Laigneau n'a rien à voir avec la clique Gattaz. Ce qui est un bon point.

Le passage incriminé est donc le suivant:

"Le blues, la crainte l’angoisse et les larmes, l’insomnie aussi. Voilà Pauline Laigneau au bord de la crise de nerf. Tout comme la tata de Salomé, Pauline fait dans le bijou. Dans sa petite boîte un méchant salarié l’a trainé au prudhomme. Quoi ? Injure pour cette prude femme. Et le pas sommeil, et le gros bobo. Fin de la séquence émotion. Dire que les parents de cette normalienne qui a loupé l’ENA par réflexe de défense sont les propriétaires du château du Rivau, « joyau » du Val de Loire est sans doute se monter mal élevé, bafouer la cruelle loi qui veut que l’on ne soit pas responsable de ses parents. Donc ne pianotez pas Rivau sur Google. Pourtant c’est sans rival ce Rivau."

DESOLE.

JM BOURGET

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