(Paris France) Arrivant de différents centres de rétention situés dans le septième arrondissement de Paris, dix-sept ressortissants français appartenant à la cellule Milton Friedman, sont arrivés dans des véhicules de police aux vitres teintées et gyrophares allumés, sont arrivés dimanche à l'aéroport de Villacoublay pour y être expulsés vers l'Algérie. Après un embarquement plutôt calme sur un jet privé de la compagnie république française, les dix-sept ont atterri à Alger où ils ont subi une fouille au corps minutieuse de la part des autorités qui ont lâché un sybillin "en souvenir d'Orly 2015", date d'un attentat à la pudeur perpétré sur la personne d'un diplomate algérien.
Utilisant les nouvelles technologies pour diffuser leurs propos insidieux, les terroristes ont commis une longue liste de crimes, aux cris de "Black Rock akbar". Terrorisme social, attentats sur les libertés individuelles, séparatisme entre classes sociales, destruction d' acquis sociaux, trafic de polaires et de cols roulés, leurs thèses ont séduit la partie la plus crédule du corps électoral. Leur chef, le caïd "Qu'ils Viennent Me Chercher" reste caché alors qu'il n'aime rien tant que se mettre en scène avant et après chaque attentat. Aux dernières nouvelles, il se trouverait dans une grotte de l'Elysée, en attendant que le président russe lui accorde l'asile politique.
Ces individus ont annoncé vouloir revenir sur le sol français pour y commettre un attentat sur les retraites. Aucun d'eux ne possède de visa et quand bien même ils présenteraient des documents, il s'agirait de faux grossiers. Espérons que la police de l'air et des frontières qui possède le signalement des dix-sept, fasse pour une fois preuve d'efficacité et les refoulent en application du slogan d'un vizir devenu calife : "la France, on l'aime ou on la quitte." Peut-être auront-ils auparavant trouvé la mort dans le naufrage du bateau d'un passeur, ce qui les ferait rejoindre les mille deux cents exilés disparus au cours du premier semestre 2022.