(Paris France dimanche 9 octobre ) Dix-sept ressortissants français de la cellule Milton Friedman, ont été amenés depuis le centre de rétention du septième arrondissement, dans des des vvéhicules de la SDATS (Sous-direction anti-terroriste sociale), vitres teintées, sirènes hurlantes, gyrophares actionnés, virages pris sur les chapeaux de roue, pour l'aéroport de Villacoublay pour y être expulsés. Après un embarquement plutôt calme sur un jet (privé) de République-- Française, une compagnie low-cost connue pour collaborer à des opérations de basse police, ils ont atterri à Alger où les autorités leur ont fait subir une fouille au corps minutieuse, susurrant un sybillin "en souvenir d'Orly 2015", la date d'un attentat à la pudeur perpétré par un douanier français sur le corps d'un diplomate algérien.
Aux cris de "Black Rock akbar", les bannis ont commis une longue liste de crimes relevant du terrorisme social. Libertés individuelles, séparatisme de classe, destruction d'acquis sociaux et tout récemment encore, un trafic de polaires et de cols roulés. Utilisant les technologies les plus modernes, ils diffusent une idéologie archaïque qui séduit une grande partie d'un électorat crédule, relayant les slogans de leur chef, le caïd "Qu'ils Viennent Me Chercher", qui est toujours activement recherché à l'heure où paraît cet article. Selon une rumeur, il se cacherait dans une grotte du massif de l'Elysée, attendant que son homologue russe vienne l'exfiltrer pour lui accorder l'asile politique dans une forteresse, à Bregancon, ou qu'un iranien secourable lui tende la main. En attendant, on peut craindre qu'il ne reste pas inactif, préparant le dernier tour de vis à l'attentat qu'il prépare depuis longtemps, l'explosion du système des retraites.
"La France, on l'aime ou on la quitte", ces propos d'un vizir devenu calife, résument le sentiment général dans la population face au comportement des dix-sept expulsés. Ils ont quitté ce pays, qu'ils n'y reviennent pas ! Comptons sur la vigilance jamais prise en défaut de la police de l'air et des frontières pour refouler ces individus au cas où ils tentent de revenir, munis de faux papiers en guise de documents officiels. Peut-être auront-ils auparavant trouvé la mort, entassés dans une barcasse de passeur, au cours de la traversée du retour. Ils rejoindraient les mille deux cents exilés disparus au cours du premier semestre 2022.