Le mouvement de protestation contre Macron et sa réforme des retraites prend une tournure inquiétante avec des actes d'une violence inconnue jusque-là dans la ville de Nice jusque là peu connue pour l'esprit de rébellion de ses habitants et épargnée par "la gilet-jaunisation" (1).
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Or, ce week-end, les caméras de surveillance de la promenade des anglais ont surpris de paisibles rentières cacochymes à la peau abîmée par trop de séances d'U.V. et à l'occupation sauvage des cabines à bronzer de la rue Paradis et des chaises de la promenade des anglais, d'où elles ont été délogées sans ménagement.
En tête d'un cortège de veuves (présentes et futures) d'élus et de dirigeants du Mac 40, Mmes Balkany, Bettencourt et Larcher habillées chez Black Bloc, scandaient des slogans dignes des Louise Michel dans un porte-voix de chez Chaumet. « La violence, seulement si elle est sociale", "Pas de Cartier pour les Rolex", « ma pension, je la veux en vison". Ces pétroleuses sont allées jusqu'à caillasser la devanture de la permanence d'un député de quartier quelconque avec des bracelets en saphir et des colliers en or blanc, les plus acharnées rayant la vitrine avec leurs bagues en diamant pour inscrire des graffitis vengeurs. Elles se jetèrent ensuite des cocktails Molotov pour l'apéro et mirent le feu à quelques chandelles sur les nappes en lin de leur cantine habituelle. Devant ces scènes de chaos, les touristes étrangers prirent leurs valises par les roulettes pour rentrer chez eux non sans avoir pris quelques selfies en souvenir.
Les forces de l'ordre mirent fin à ces scènes de chaos en raccompagnent les viragos qui dans sa résidence de luxe, qui dans sa suite cinq étoiles, leur évitant la case garde à vue dans le souci louable de ne pas attiser les tensions et d’éviter un « accident" toujours possible qui mettrait le feu à la croisette ou au parc . On voit que contrairement aux allégations mensongères de la presse gauchiste, les interventions policières ne poursuivent qu'un seul but, la protection des personnes.