Jean-François COFFIN (avatar)

Jean-François COFFIN

Citoyen

Abonné·e de Mediapart

82 Billets

0 Édition

Billet de blog 3 avril 2021

Jean-François COFFIN (avatar)

Jean-François COFFIN

Citoyen

Abonné·e de Mediapart

Jusqu'où et jusque quand : la question des limites de la folie

Certains parlent de psychose collective, de clivage produit par les annonces, répétées et assenées d'une mortalité certaine, immédiate pour quiconque oserait défier un virus qui a des allures de démon.

Jean-François COFFIN (avatar)

Jean-François COFFIN

Citoyen

Abonné·e de Mediapart

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

https://esprit.presse.fr/article/isabelle-stengers/que-nous-apprend-la-pandemie-43229

Je recommande l'article ci-dessus d'Isabelle STENGERS, édifiant et assez étonnant au regard de la très paradoxale réserve qui semble figer une partie des intellectuels sensible parce qu'exposés comme tout un chacun à la propagande du pouvoir politique en place.

Le dossier de la revue Esprit de mars 2021 est une rupture dans ce qui m'est apparu depuis le début de cette folle période comme un consensus à l'intérieur du monde intellectuel, celui-là même dont la proximité aux pouvoirs politiques, n'incite que très rarement à l'émancipation et à la critique la plus franche en dehors des lignes médiatiques radicales.

Pour revenir à mon histoire de folie, elle fait écho d'une certaine manière à l'absence d'alternative à une science qui aurait la solution mais qui peine à la trouver.

Il n'y a aucune voie médiane, entre science et clivage de la pensée : entre enfermement dans les effets désirables pour le pouvoir politique et médiatique, mortifères et délétères pour les citoyens.

Ces derniers se sont retrouvés, sans qu'il leur soit possible de le dénier et de se réfugier derrière la nécessité, réduits à la double condition de sujets du prince et de cobayes.

Ils auront été tout au long de cette période dont le terme (s'il y en a un, clairement identifiable) n'est pas à ce jour connu, à disposition d'une science d'autant plus médiatique qu'elle apporte jour après-jour la preuve de son impuissance à agir sur la dynamique de l'épidémie.

Les vaccins apparaissant de plus en plus clairement comme pouvant constituer eux-mêmes un facteur d'aggravation des troubles et de relance de l'épidémie.

Tout cela n'est pas anodin au regard des conséquences sociales, économiques et démocratiques, psychologiques et mentales des décisions politiques prises sur un mode autoritaire et méprisant pour un corps social réduit à l'état de corps malade et contagieux.

La force du clivage au cœur de la folie, vient transformer un vaccin présenté comme le remède à tous nos maux du moment comme un agent lui-même pathogène, un "phamarkon", capable de provoquer artificiellement des mutations virales dont l'observation laissent penser qu'elles ne sont pas sans lien avec le nombre d'injections/infections réalisées à marche forcées dans une population subjuguée.

http://jdmichel.blog.tdg.ch/archive/2021/04/17/covid-nos-gouvernements-sont-ils-au-service-d-interets-mafie-314571.html

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.