Triste, bien triste face au mortifère qui envahit nos quotidiens sans que la moindre réaction ne s'ébauche, vraiment.
Je ne parle pas là des plaintes et autres "râleries" comme quoi, ce COVID commence à nous emmerder ou un truc comme ça.
De toute façon, il nous emmerde, il donne à parler et c'est tout puisqu'il n'y a plus de débat.
Les oppositions sont absentes, le peuple est absent, masqué et docile, en demande de sécurité, avalant toutes les couleuvres autoritaires, prêt, on l'imagine bien à toutes les compromissions tant que sa désormais sacrosainte sécurité est assurée s'il ne s'écarte pas du droit chemin tracé par des élites éclairées et soutenues par la science.
Que d'autres voix s'élèvent pour interroger les décisions prises au nom du principe de précaution, qu'importe.
Comme le laisse entendre Didier RAOULT, dès lors que l'on teste, on trouve plus de cas... et alors ?
De ce que j'ai compris de l'immunologie, c'est que notre corps est plein de virus, inactifs. Le ou la COVID 19 ira rejoindre ses petits copains dans 95% de cas, sans causer le moindre dommage à son hôte.
Bon, allez, un grand coup de "théorie du complot" (puisque les fake news font partie des moyens mis en œuvre par le pouvoir politique pour faire taire toute forme d'opposition) : les vaccins auraient-t-ils une quelconque utilité si une partie significative de la population (le pourcentage n'est pas très clair, en tout cas au moins 15%) se trouve porteuse saine du virus ?
Bon, allez, tout a un prix : les laboratoires et leurs obligés ont-t-ils intérêts à s'exposer au risque de l'inutilité du vaccin ?
J'aurai pu trouver un autre titre "état d'alerte démocratique", "état d"urgence démocratique" mais l'écriture n'est qu'un exutoire ; l'alerte et l'urgence sont du domaine réservé d'un pouvoir politique au service d'une minorité et désormais, depuis le dernier scrutin municipal, assumant très bien la faiblesse de son élection et de sa légitimité.