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chercheur indépendant, écrivain, inspecteur de l'Education nationale honoraire, ancien chargé de cours à l'Université de Poitiers

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Billet de blog 18 juillet 2025

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Macron, une gouvernance festive

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 Le 5 novembre 2024 le journal Le Monde titrait : « Plus impopulaire que jamais, Emmanuel Macron se prépare à une interminable et douloureuse fin de règne. ». Depuis la dissolution hasardeuse et finalement politiquement catastrophique de l’Assemblée nationale, E. Macron ne tient plus les rênes ni du « char français » (le pays) ni des chevaux (le gouvernement et ses ministres), donc il ne peut plus apparaître en maître de la gouvernance de la France. Jupiter est ravalé au rang de figurant ce qui est, autant affectivement que psychiquement, insupportable pour ce grand narcissique. Le Monde, le 22 juin 2024, dessinait les fondements de ce qui dans la personnalité d’E. Macron lui rend insupportable toute situation où il n’est pas le maître absolu : «   Bref, il n’a toujours fait confiance qu’à lui-même, “comme s’il entendait à lui seul accaparer tout entière la fonction d’incarnation”, écrivait l’historien Jacques Julliard dans Marianne au début du premier quinquennat. « Ce n’est pas une fonction, c’est un être », expliquait lui-même [à propos de la fonction présidentielle], en 2017, le futur président de la République à l’écrivain Philippe Besson pendant sa première campagne. […] « Il y a du Napoléon chez Macron : En déclenchant la foudre, Jupiter est devenu Cronos, dévorant ses propres enfants. Et si, lui qui a toujours voulu gouverner en solo, avait simplement cherché à se retrouver enfin tout seul, en haut, face à une Assemblée atomisée ? Il y a du Napoléon chez Macron, avance l’historien Vincent Martigny (Le Retour du prince, Flammarion, 2019), “ un homme seul qui a besoin d’action, de conquêtes militaires pour vivre, un aventurier lancé dans une folle fuite en avant qui se termine à Waterloo, et qui finit seul à Sainte-Hélène.” ». Notons qu’il lui manque la guerre pour ressembler à Napoléon 1er ; mais ça vient : il l’annonce, s’y prépare autant qu’il prépare les esprits des citoyens.

En attendant de parfaire sa panoplie, il doit tenter de masquer et de faire oublier l’échec de la dissolution, le recul spectaculaire de l’influence française en Afrique, le peu de poids de la parole française en Europe et plus généralement dans le Monde, l’accroissement de près de 1000 milliards d’euros de la dette du pays en 8 ans de gouvernance Macron, un fort affaiblissement des services publics, un taux de pauvreté qui atteint aujourd’hui 15,4% de la population alors qu’il était à 14% en 2010 et 13,6% en 2020… Ainsi, Emmanuel Macron qui s’est toujours vanté de vouloir relever la France apparaît plutôt comme un des responsables de son déclin[1]. Aujourd’hui le Roi est nu, il est esseulé et il s’ennuie en son palais. Alors, il multiplie les occasions de se montrer mais, comme apparaître ne fait pas exister politiquement, dès lors il agite des hochets et organise des fêtes. Pour être en politique et plus encore quand on est au pouvoir, il faut de l’action donc il accumule les commémorations et les cérémonies de toute sorte : il sera celui qui aura décoré untel, celui qui aura célébré le souvenir de tel ou tel, autant, au-delà du spectacle, de tentatives de séduction des électeurs. Surtout il espère que ces grandes manœuvres communicationnelles et marketing redonneront de la consistance à son personnage devenu bien falot.

Ce faisant s’il satisfait son ego, étaye son narcissisme, jouit pleinement du pouvoir mais il prend le risque de détruire l’échafaudage symbolique du pays notamment en ramenant les valeurs (celles qui restent) fédératrices du pays au niveau d’un objet publicitaire.

Ceci est d’autant plus grave que les valeurs sont, depuis plusieurs décennies, déjà mises à mal par une foultitude d’actions du monde de l’économie, du sport et de celui de la culture. Par exemple la publicité commerciale de Coyotte promet aux automobilistes acquéreurs de son appareil d’être protégés contre les amendes plutôt que d’inciter ceux-ci à respecter la loi. Le sport commenté par les journalistes met à mal les valeurs de solidarité, de respect des règles et des adversaires lorsqu’on dit et écrit que l’adversaire a été écrasé, humilié, étrillé, sur un autre registre la publicité de Fleury Michon montre un homme décrocher du mur le cadre contenant un dessin d’enfant, le mettre à la poubelle pour le remplacer l’emballage d’un paquet de jambon. D’un côté nous vous protégerons contre les sanctions d’une loi que vous n’aurez pas respectée donc à quoi bon vous soucier de la loi, donc à quoi bon vous soucier de la respecter ; d’un autre le jambon devient affectivement plus important que le dessin d’un enfant, donc l’enfant est secondaire mais que ne ferait-on pas pour satisfaire son plaisir. Second degré me direz-vous, bien sûr mais, nonobstant le fait que tout le monde – notamment les enfants‑ ne comprend pas le second degré, ayons conscience qu’à force ne faire que du second degré celui-ci prend toute la place, étouffe les valeurs de la société. Nous pourrions ajouter à cette liste une foultitude d’émissions de télévision, y compris d’information, où on cultive l’approximation, la vulgarité qui concourent à forger une société d’où l’esprit critique est absent et la médiocrité en hausse constante.

Ce faisant les valeurs, qui sont sinon fédératrices de la société mais qui encadrent ce qui peut s’appeler la culture commune, disparaissent, et quand le cadre disparaît le contenu se disperse et se délite. Sans support et sans moyen de cohésion que devient une société ? La question est d’importance dans un monde où la médiocratie l’emporte sur l’intelligence et l’esprit critique. Nous sommes entrés depuis à peu près 40 ans (dès le 19ème siècle disent certains) dans l’univers de la médiocratie. La médiocratie désigne une forme d’organisation sociale où ce ne sont plus la compétence, l’innovation ou l’excellence qui déterminent l’accès au pouvoir ou à la reconnaissance, mais la conformité à la norme, l’absence de risque, la routine. La médiocratie est ainsi une forme de gouvernance ou d’équilibre social où la moyenne prévaut, où l’originalité suscite la méfiance, et où la créativité peine à s’exprimer. On perçoit que dans une telle structuration de la société la question de la norme est particulièrement essentielle, or la norme sociale se fonde sur les valeurs. On comprend dès lors que lorsqu’une publicité met l’accent sur le moyen d’éviter « artificiellement » la sanction plutôt que d’insister sur l’importance d’une loi et le devoir de la respecter on va passer de la valeur respect de la loi à celle de l’esquive. La médiocratie c’est l’univers du consensus mou, de la peur du risque, voire de la soumission, autant de traits des comportements sociaux qui pourraient convenir à E. Macron du moment où il se pose comme monarque ou comme Jupiter. Pourtant les caractéristiques, classiquement décrites, de la médiocratie sont en contradiction avec le discours macronien :

  • La valorisation de la norme : Dans une médiocratie, la réussite passe par l’adoption de comportements attendus, de discours consensuels et d’idées modérées. Celui ou celle qui dérange, qui propose autre chose, risque l’exclusion ou la marginalisation.
  • L’évitement du risque : Prendre des risques, innover, sortir des sentiers battus sont perçus comme dangereux. La prudence et la gestion du statu quo deviennent des vertus cardinales.
  • L’ascension des profils « lisses » : Les personnes qui progressent le plus dans les structures médiocratiques sont souvent celles qui savent naviguer habilement entre les attentes, éviter les conflits, et ne pas faire de vagues.
  • La bureaucratisation des structures : Les procédures, règlements, évaluations standardisées et autres mécanismes de contrôle se multiplient, au détriment de l’initiative personnelle et du jugement.
  • La dilution de la responsabilité : Dans une médiocratie, les décisions sont souvent prises collectivement ou anonymement, de sorte qu’il est difficile d’identifier un responsable en cas d’échec.

Cependant à bien regarder on trouvera dans ces caractéristiques n’ont pas de trait de personnalité d’E. Macron mais des points d’appui pour sa gouvernance autocentrée. Michel Fize[2] dit de lui : « Pensant avoir raison sur tous et sur tout, M. Macron n’admet jamais commettre d’erreurs et, même si ici ou là, il adresse (s’adresse ?) quelques mea culpa, ceux-ci manquent toujours de sincérité. », alors comment ne trouverait-il pas un terrain de jeu (de Je) propice à développer son Ego dans une médiocratie où les personnes ont assimilé que la réussite passe par l’adoption de comportements attendus, de discours consensuels et d’idées modérées. Celui ou celle qui dérange, qui propose autre chose, risque l’exclusion ou la marginalisation ; ainsi, le roi est roi tout seul. Pareillement il est satisfait d’un entourage non seulement obéissant où chacun est sommé de se confondre, de se fondre dans les idées du chef, un entourage en forme de cour composé essentiellement de personnes au « profil lisse ». Tout ceci correspond bien à ce qu’en écrit Sophie Coignard[3] lorsqu’elle rapporte les propos de Pierre Rosanvallon : « Pierre Rosanvallon, interrogé au micro de France Inter, apporte une réponse simple et lumineuse : “Il se passe avec Emmanuel Macron quelque chose qui n’est pas de l’ordre du rationnel […]. Le personnage, la personne Emmanuel Macron incarne quelque chose qui provoque un rejet extrêmement profond.” Selon cet ancien titulaire de la chaire d’histoire moderne et contemporaine du politique au Collège de France, cette détestation trouve sa source dans une certaine distance au peuple, une forme de supériorité empathique : « Emmanuel Macron n’a pas peur d’aller au contact, c’est une de ses qualités. Mais il cherche davantage à convaincre qu’à écouter. Il dit, c’est sa phrase un peu magique : “Je vais vous expliquer.” » “Je vais vous expliquer”, une proposition qui semble bien innocente, et même bienveillante, mais qui souligne l’océan qui sépare Emmanuel Macron des Français qu’il rencontre au hasard de ses itinérances parmi les gens ordinaires, “ceux qui ne sont rien­”, avait-il dit un jour dans une phrase qui lui a été, à juste titre, très reprochée. »

Pour qu’un tel système fonctionne il faut des acteurs. Point de difficulté pour trouver un entourage servile tant les ors de la République et l’attrait du pouvoir exercent une attraction forte sur les gens ; chacun se souvient, en mai 2017, des bébés ministres en barboteuse traversant la cour de l’Élysée ainsi que des néodéputés comme de véritables pantins ne répondant qu’aux « effets de fils[4] » du maître. Ce fut plus difficile avec « le peuple », les Gilets Jaunes ont montré qu’on ne soumet pas un peuple facilement. Pour le faire il n’y a que deux méthodes : la violence et les jeux. Macron a su, et continue de le faire, actionner grâce aux ministres de l’Intérieur et à la police une force répressive jamais vu en France depuis le 19ème siècle, Zola n’aurait pas été dépaysé. Tout le monde est rentré « à la maison » en ayant bien compris que désormais il n’y avait qu’un maître qui dictait l’organisation du pays, la ligne de conduite de chacun en favorisant les riches souvent au détriment des pauvres, qui mettait en place des mesures en forme de miroir aux alouettes comme la « prime Macron », le dédoublement des classes de CP… Cependant, chacun se mit à ronger son frein, prêt à repartir sur les « ronds-points ». Alors comment amadouer le peuple et, sans en faire un allié, obtenir une soumission volontaire silencieuse ?

Ce peuple qui voyait bien, et chaque jour un peu plus, que disparaissent les valeurs de la République. Où est, dans le concret, la liberté notamment d’expression qui permet à chacun de s’exprimer comme il l’entend alors qu’on rétablit « le blasphème » à l’égard du roi Macron, où est la Liberté de conscience où la laïcité assure la neutralité de l’État face aux religions et protège la liberté de croire ou de ne pas croire avec les restrictions de tous ordres comme l’épisode stupide de l’abaya à l’école instrumentalisée par un ministre à peine sorti de l’œuf et en mal de notoriété, où est la liberté d’association et de réunion avec l’obligation de signer un « pacte républicain » (véritable pacte d’allégeance) dépourvu de tout sens philosophique et moral ? Qu’est devenue la valeur « égalité » dans une France où il y a de plus en plus de pauvres, où le système judiciaire met en place des procédures de plus en plus expéditives au détriment des plus faibles culturellement, où de plus en plus de politiciens et de ministres échappent à la Justice ? Que reste-t-il de la fraternité dans un pays où les policiers ont ordre de détruire les bateaux de migrants en pleine mer précipitant les personnes à l’eau, quand on laisse à la rue les immigrés mineurs, quand on confisque les réserves financières des bailleurs sociaux, quand on ferme des maternités avec plus de facilité que n’en ont les enfants en maternelle pour faire des colliers de nouilles… ? Alors, comment apprivoiser ce peuple ?

La meilleure manière c’est la flatterie : donnez-leur du pain et des jeux ! Macron a su distribuer suffisamment de poignées de cacahuètes (prime par-ci, prime par-là) comme un commerçant qui distribue des chèques-cadeaux pour s’attacher une clientèle. « Le pain » était là, restait à trouver les jeux. Macron ne fut pas avare de « grands spectacles » : les conventions citoyennes qui occupaient des gens qui produisaient des rapports dont il ne tenait pas compte, il en fut ainsi, aussi, du « Grand débat national » pour clore l’épisode des Gilets Jaunes, puis ce furent les Jeux olympiques qui éblouirent le monde de clinquant mais à la qualité culturelle faible et qui n’apportèrent rien quant au bien-être de la société : les gens étaient après comme ils étaient avant, sauf les délogés de la Seine-Saint-Denis et les ouvriers exploités sur les chantiers (le plus souvent des immigrés mal payés) dont certains sont morts ; mais le roi était content avec sa compagnie d’affidés. Cela ne suffisait pas, alors il y eut les « panthéonisations » dont l’opportunité de panthéoniser les conjoints interroge et la multitude d’hommages nationaux dans la cour des Invalides. On arrive à une sorte d’apogée avec la distribution de médailles : jamais ne furent distribués autant de légion d’honneur à des gens qui n’ont pas fait montre d’un engagement social, solidaire hors du commun ; ça interroge sur la capacité symbolique que Macron donne à la Légion d’honneur, d’ailleurs sa déclaration à propos de la radiation de Nicolas Sarkosy pour fait de condamnation par la Justice suffit en elle-même pour voir qu’il n’y accorde aucune valeur symbolique. Il est prêt à décorer n’importe qui pourvu que la chose soit médiatiquement payante. Les décorations, toujours très recherchées par une foultitude de gens, sont pour Macron un jouet comme un autre qui pourtant peut lui permettre d’accaparer l’attention du peuple (les bonnes grâces c’est autre chose), n’avait-il pas dit sa crainte que les décorations « soient perçues comme le signe d’un entre-soi de personnes riches, puissantes, d’un monde très parisien de la politique, des affaires, de la communication, auquel les citoyens n’ont pas accès[5] ». Je ne saurais citer, sans en faire le détail, les commémorations qui furent si nombreuses qu’un article ne suffirait pas à en dresser la liste et moins encore à en expliquer le contenu et les effets. Dans ce grand spectacle de la République de Macron sont absents le respect des personnes et leur dignité bafouée tous les jours, l’esprit de justice… Mais le roi s’amuse dans un cadre de personnalité, quasi pathologique, bien dessinée par Michel Fize[6] : « M. Macron est assurément un être hybride, mi-adulte mi – « gamin ». Nombre de ses comportements sont effectivement d’une totale nature infantile. Souvenez-vous notamment de ses accolades sans fin aux médaillés des JO de Paris, puis de ses sautillements, lors de la Parade des champions, aux côtés d’athlètes … en fauteuil roulant ! Nombre d’autres conduites sont au contraire – fort heureusement – pleinement adultes. Sont-ce pour autant des conduites intelligentes ?

On prête à Emmanuel Macron beaucoup d’intelligence. A-t-on raison d’affirmer cela ? Si l’on définit l’intelligence comme la capacité à créer des liens (inter-ligare) ou à s’adapter à des situations (quelles qu’elles soient), l’on peut raisonnablement en douter.

Emmanuel Macron ne s’adapte à aucun événement ; il essaie d’adapter l’événement à sa propre personne – ce qui, en politique, n’est, naturellement, qu’un leurre, un irréalisme, ni plus ni moins.

Donc pas de réelle intelligence chez cet homme pourtant “capable”. Songeons ici à ce propos du philosophe Henri Bergson : “Un être intelligent, disait-il, porte en soi de quoi se dépasser lui-même ; et il faut user de l’intelligence pour dépasser l’intelligence” (L’Évolution créatrice). M. Macron n’a pas cette capacité de dépassement. Il n’arrive pas à partager avec les autres membres de la société la signification qu’ils donnent, tous ensemble, au monde social. On pourrait donc parler chez M. Macron d’un “ défaut d’intégration sociale” ».

Aujourd’hui, craignons en attendant la fin en 2027, que Jules Torres (le JDD du 03/05/2025) n’ait raison lorsqu’il écrit : « Il y a des fins de règne discrètes. D’autres, tragiques. Celle d’Emmanuel Macron est étrange : bavarde, gesticulante, et pourtant désespérément vide. Elle s’affiche partout, mais ne laisse plus de trace. Le président parle encore, mais ce sont ses silences qui font désormais du bruit. Derniers épisodes en date ? Une nouvelle « convention citoyenne », cette fois sur les rythmes de l’enfance. »

Les valeurs de la République ainsi estompées et inexpressives depuis des années, non seulement n’ont pas été ravivées par le Président de la République qui au contraire les a bafouées en en remplaçant l’exaltation par des « fêtes » plus populistes que populaire dans un bain de médiocrité culturelle : la France est gouvernée par un bateleur, un amuseur. Dès lors, sans ossature que reste-t-il à la société, quel modèle et quel horizon lui propose-t-on, pour « grandir », pour progresser, pour s’améliorer ?

[1] Politis, 24 avril 2024.

[2] Michel Fize, psycho-analyse d’Emmanuel Macron, Psycho-analyse d’Emmanuel Macron – Revue Politique et Parlementaire , 9 décembre 2024.

[3] Sophie Coignard ; la tyrannie de la médiocrité, éditions de l’Observatoire, 2022

[4] Analogie avec les fils qui servent à animer les marionnettes.

 https://www.gadagne-lyon.fr/sites/gadagne/files/medias/documents/2022-08/MAM_dossier_pedagogique_3_les_techniques_virevolte.pdf

[5] Antton Rouget et Jules Xénard, Légion d’honneur et clientélisme : le cas d’école Gérald Darmanin | Mediapart , 14 juillet 2025.

[6] Michel Fize, psycho-analyse d’Emmanuel Macron, Psycho-analyse d’Emmanuel Macron – Revue Politique et Parlementaire , 9 décembre 2024.

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