Précisons de quelle violence parle-ton?

L'évolution actuelle me semble plutôt attester une montée "en violence" à visée dissuasive, non motivée par quelque conflit ou urgence d'autodéfense -- dès lors plutôt à visées autoritariste et de pression façon "mafieuse" – ou fascisante. On citerait d'autres cas de menées- "anonymes", contre des journalistes, des critiques de l'agro-industrie, ailleurs… Le pouvoir ne veut pas nommer ces procédures en progression, pour ne pas les révulser-encourager? pour cibler sa défense du "droit" contre d'autres composantes politiques? Le sait-il lui -même? et quand un vieux débile-normal anti-maghrébins tire comme il peut contre ses phobies, c'est un fou… bien sûr, on n'allait pas l'enfermer, ce serait injuste, et non ce n'était pas un crime, juste un délire anodin. Idem, les clans qui brûlent une habitation, cisaillent les freins d'une auto: énigmatique improvisation d'un soir de beuverie, allons, on ne peut rien faire. – Voilà, ça me semble clair.