Maintenant que Macron en pleine crise d’irresponsabilité historique vient d'annoncer que la France rempile sur le nucléaire avec des milliards d'euros qui n'iront pas aux renouvelables et qui aggraveront la menace nucléaire, force est de constater que la France est faite d'une majorité d'esprits moutonniers, obéissants et sans jugeote qui prétendent fuir la peste climatique en développant le choléra nucléaire.
Si l'esprit moutonnier à propos du nucléaire n'est pas partagé dans les pays voisins de la France, force est de constater que, malgré la circulation généralisée des informations, la tendance moutonnière s'observe partout dans le monde et notamment à propos de vaccination covid.
Aux USA, Peter Doshi, professeur associé d'université en médecine/pharmacie, appelle au bon sens et à l'esprit critique à propos du vaccin du covid-19. Il incite ses étudiants à aller au-delà des prétendues évidences qui commencent par "Everybody knows blablabla ..." [Tout le monde sait blablabla].
Ce professeur de médecine constate que la définition de "vaccine" dans le dictionnaire Webster vient d'être assouplie et simplifiée pour y faire entrer les produits à base d'ARN messager.
Avant 2021, la définition du Webster était: "A preparation of killed microorganisms, living attenuated organisms, or living fully virulent organisms that is administered to produce or artificially increase immunity to a particular disease."
["Une préparation de micro-organismes tués, d'organismes vivants atténués ou d'organismes vivants pleinement virulents qui est administrée pour produire ou augmenter artificiellement l'immunité contre une maladie particulière."]
Depuis 2021, la nouvelle définition (ici) est : "A preparation that is administered (as by injection) to stimulate the body's immune response against a specific infectious agent or disease."
["Une préparation qui est administrée (comme par injection) pour stimuler la réponse immunitaire du corps contre un agent infectieux ou une maladie spécifique."]
Voilà ce que c'est d'avoir des dictionnaires en ligne. Ils permettent de vite ré-écrire l'histoire et de duper les gens.
Peter Doshi remarque aussi que la pandémie est présentée comme une pandémie des non-vaccinés, alors que selon lui rien ne prouve l'efficacité du prétendu vaccin, ni les essais cliniques d'avant la commercialisation, ni les données obtenues depuis la vaccination à grande échelle.
Il constate que c'est le fait d'appeler "vaccin" un nouveau médicament qui ouvre la porte à des mandats rendant obligatoires ce médicament de manière récurrente. A contrario, qui prendrait volontairement un médicament qui n'empêche ni la maladie ni la contagion ?
Voici le lien vers l'intervention de ce professeur: Did we just change SCIENTIFIC definition of a VACCINE?
Il faut remarquer aussi que le vaccin est financé par les deniers publics et que dès lors sa consommation même récurrente est gratuite (et d'autant plus qu'elle est imposée par des lois), ce qui ne serait pas le cas pour un autre médicament.
A mon sens, ce professeur de médecine nous invite à réfléchir à propos de la gigantesque arnaque dont nous sommes victimes, une arnaque mondiale dont l'un des grands orchestrateurs pourrait bien être sa majesté Bill Gates, le second pourvoyeur de fonds de l'Organisation Mondiale de la Santé qui édicte la bible mondiale en matière de santé publique. On se rappellera qu'au début de 2020, c'est Bill Gates qui est monté au créneau et s'est mis en scène, tel un gourou inspiré d'une vision, pour marteler en anglais le mot "vaccine". Son coup de poker était de faire passer la pilule d'un nouveau médicament qui allait rapporter gros à sa nébuleuse philanthrocapitaliste à condition que ce médicament s'appelle un "vaccin". On imagine mal que Bill Gates se soit exprimé sans le concours de spécialistes de la communication... et du mensonge. Moralité: quand on ne peut pas gagner et qu'on s'appelle Bill Gates, il suffit de changer les règles du jeu, d'imposer une nouvelle acceptation du vocabulaire de base et d'attendre l'approbation des esprits moutonniers qui sont majoritaires dans les populations des pays prétendument démocratiques.