Comme Jean-Michel Jacquemin-Raffestin l'écrit en page 361 de son livre sur le covid :
"Un jour, ceux qui gouvernent auront des comptes à rendre aux peuples : un Nuremberg II me paraît inévitable !"
Evoquer un Nuremberg II est d'autant plus pertinent que
- le président de la France parlait fièrement de "guerre" en matière de covid (sans doute pour rendre ses décisions inattaquables en justice de son vivant).
- des rescapés de l'holocauste et leurs descendants établissent des parallèles entre covidisme et nazisme.
Pascal Najadi n'est pas un rêveur. Il a fait ce que bien des gens (comme moi) rêveraient de faire, à savoir : lancer des actions en justice tous azimuts pour dénoncer la gestion du covid et les prétendus vaccins imposés alors qu'ils étaient avant tout des poisons.
On peut espérer que Pascal Najadi pourra soulever des fonds auprès de toutes celles et tous ceux qui militent pour que soient dénoncés les mensonges diaboliques, les atrocités et les crimes engendrés par la gestion du covid.
Pour l'heure, voici une interview publique de Pascal Najadi lors de la dernière assemblée du Conseil Scientifique Indépendant [CSI] qui s'est tenue à Saintes les 18 et 19 mai derniers: https://youtu.be/AdfgkRCs7l4?t=5525 (N.B. Il y a eu une panne de son au début de l'interview).
Voici le texte retranscrit de cette interview
CSI:
Pascal Najadi est un citoyen suisse britannique.
Son arrière-grand-oncle maternel a été président pendant la Seconde Guerre mondiale. Il s'appelait Rudolf Minger.
Pascal a servi dans l'armée de l'air suisse.
Pascal a été banquier d'affaires chez Merrill Lynch International, à New York et à Londres.
Plus tard, il a été membre du conseil d’administration de la Dresdner Bank AG à Londres.
Il était chargé de conseiller les chefs d'État et les ministres en matière de conseil stratégique et de crise.
Les territoires concernés étaient l'Europe centrale, l'Asie centrale, la Fédération de Russie, le Moyen-Orient, du Liban à Oman, y compris l'Arabie saoudite et le continent africain.
Vous êtes aujourd'hui impliqué dans la contestation juridique des lois liées à la crise sanitaire.
Pouvez-vous nous dire ce qui vous a poussé à agir?
Pascal Najadi:
Oui. bien sûr.
Tout d'abord, j'aimerais souhaiter la bienvenue à tous les participants et à l'auditoire et les remercier pour le temps qu'ils ont consacré au Conseil scientifique.
Qu'est-ce qui m'a poussé à agir ?
Moi et ma famille, nous avons cru le ministre de la santé, Alain Berset, et toute la machine de propagande, que le vaccin avait été testé, qu'il était sûr et efficace.
Nous nous sommes fait vacciner ou injecter parce que nous étions convaincus de l'innocuité du produit et qu'il protégeait les autres.
En 2021, nous, toute la famille, nous nous sommes fait injecter trois fois chacun l'ARNm de Pfizer–BioNTech.
Le 10 octobre 2022, j'ai donc été choqué. Pourquoi ?
Parce que j'ai vu une vidéo du Parlement européen où la directrice de Pfizer, Janine Small, a été interrogée par un parlementaire :
« Avez-vous testé le vaccin avant son entrée sur le marché sur le critère d'évaluation ? »
La dame a répondu :
« Bien sûr que non, nous avons dû aller à la vitesse de la science. »
Cela a été un grand choc, car j'ai alors réalisé que, pendant tout ce temps, nous n'étions pas protégés, que nous avions potentiellement infecté d'autres personnes avec ce virus ou cette chose, et j'ai été très contrarié.
Le 2 décembre 22, j'ai décidé de m'adresser à la police suisse et j'ai porté plainte contre le ministre de la santé Alain Berset, qui est également président de la Suisse.
Je dois dire que la présomption d'innocence s'applique au président Berset car il s'agit d'une procédure en cours.
Ces accusations pénales sont actuellement en cours auprès du procureur fédéral du gouvernement suisse à Berne.
Ensuite, le 27 février, j'ai pris contact avec Ana McCarthy, qui est une citoyenne panaméenne-américaine et qui a étudié le droit.
Elle n'est pas avocate à New York et je lui ai demandé son avis sur ce que je pouvais faire.
Elle m’a répondu qu’elle n’était pas avocate, mais nous avons travaillé ensemble et nous avons trouvé un moyen de joindre mon dossier d'inculpation pénale suisse et une décision de justice contre Pfizer gagnée par la PMCPA à Londres contre Pfizer et Burla pour marketing frivole.
Nous avons joint ces documents à mon dossier, car je suis également britannique,
Puis McCarthy a déposé son dossier contre Pfizer Inc., le 6 mars 23 de cette année, sous le numéro 100197 auprès de la Cour suprême de l'État de New York à Manhattan.
Le juge désigné est l'honorable juge Lori Sattler.
C'est l'action que j'ai entreprise après avoir appris que nous avions été empoisonnés et qu'il ne s'agissait pas d'un vaccin.
CSI:
Pascal, face à votre situation, quelles actions avez-vous entreprises ?
Quels résultats avez-vous obtenus et que signifient-ils ?
Pascal Najadi:
Je fais partie de l'affaire Ana McCarthy 100197 contre Pfizer.
Nous avons plaidé non pas pour des raisons médicales, ou de chimie ou de santé, mais pour des raisons purement juridiques.
Parce qu'en Amérique, aux Etats-Unis, il n'y a pas d'obligation de vaccination pour le grand public.
Il n'y a pas de code QR sur les téléphones, ni de situation de vaccination ou de non-vaccination comme en Suisse.
Fait : Pfizer est une entreprise américaine.
Fait: il s'agit d'un produit américain.
Ils sont allés en Suisse sur un marché d'apartheid. Pourquoi?
Parce que la loi suisse sur les vaccins fait de la discrimination entre les personnes vaccinées et les personnes non vaccinées.
Suite à la loi d'urgence Covid lancée le 9 septembre 21, le président Biden a émis l'ordre exécutif 14042.
Le 13 janvier 2022, la Cour suprême des États-Unis a statué qu'en vertu du 1er amendement de la Constitution américaine, il existe une exemption médicale religieuse.
Le président Biden n'a pas communiqué cette décision aux citoyens américains.
Il ne l'a pas non plus fait savoir aux 205 pays du monde entier.
Par conséquent, à notre avis, il enfreint le premier amendement de la Constitution américaine.
Le plaignant dans notre affaire a informé les tribunaux de New York de ce fait le 8 avril de cette année.
C'était le samedi du week-end de Pâques, le 8 avril, et le 10 avril qui est le lundi de Pâques, le président Biden a signé, dans le projet de loi HJ7, une phrase qui dit que l'urgence nationale pour le Covid est terminée aux États-Unis d 'Amérique.
Cela signifie que si vous êtes religieux et que vous le dites, dans le monde entier, vous pouvez dire vous êtes exempté de vaccination, d'injection, parce que, encore une fois, les entreprises américaines avec des produits américains ne peuvent pas violer les lois américaines à l'étranger dans un régime d'apartheid vaxx/non-vaxx.
Cela est valable dans le monde entier tout au long de notre action, de notre argument contre Pfizer.
Cela vaut également pour Johnson & Johnson, une entreprise américaine, n'est-ce pas ?
Astrazeneca, société américaine, n'est-ce pas?
Et Moderna, une société américaine également.
Tels sont les résultats obtenus jusqu'à maintenant.
La Suisse a donc arrêté les vaccins Covid.
Elle a déclaré qu'elle ne les recommandait plus et que les médecins étaient désormais responsables s'ils choisissaient d'injecter le vaccin.
Swiss Air a cessé d'imposer la vaccination au personnel de cabine et aux pilotes avant Pâques.
Les Américains, comme vous le savez, ont mis fin à l'urgence Covid et l'Allemagne, il y a deux jours je crois, a également abandonné la campagne de vaccination.
Parce qu’un gouvernement ne peut pas être considéré comme aidant, par le biais de son régime vaxx/non-vaxx, les entreprises américaines à enfreindre les lois américaines à l'étranger. Logique.
Ainsi, la Suisse, pays intelligent, a d'abord dit "Oh oh, nous sommes hors jeu, nous ne pouvons pas être vus en train d'aider Pfizer, Moderna et d'autres à enfreindre la loi américaine à l'intérieur de nos frontières".
Pour des raisons de responsabilité. C'est tout.
Ainsi, n'importe qui dans le monde peut désormais s'y référer et dire : le premier amendement de la Constitution américaine est valable à l'étranger, je ne vais pas faire d'injection et personne ne peut vous forcer.
C'est tout. Voilà le résultat.
Par ailleurs. le 23 mars, le président Biden a perdu devant le tribunal de la Nouvelle-Orléans sur cette question :
il avait affirmé qu'en tant que président des États-Unis, il était habilité à obliger les employés des agences fédérales américaines à se faire vacciner.
Les juges de la cour d'appel de la Nouvelle-Orléans, aux Etats-Unis, ont statué :
"Non, Monsieur Biden, le président des Etats-Unis n’a pas cette autorité."
Ils ont affirmé, réaffirmé, que la vaccination en général aux Etats-Unis est une affaire exclusive entre le médecin et le patient.
Point final.
<applaudissements de l'assemblée CSI>
Le président Biden ne peut pas faire appel parce que la Cour suprême des États-Unis a déjà perdu sur la même question auparavant, c'est un résultat séparé qui est très bon, il veut dire ce qu'il veut dire.
CSI:
Merci c'est très clair !
Merci beaucoup Pascal pour cette présentation.
Nos sommes tous avec vous.
Vos résultats obtenus en quelques mois sont incroyables.
Je voudrais souligner que Pascal Najadi et Ana McCarthy ont financé leur procès contre une société multimilliardaire avec leur propre argent jusqu'à présent.
Ils n'ont aucune communauté, aucune fondation, aucune subvention spéciale derrière eux.
Merci !
<applaudissements de l'assemblée CSI>

Agrandissement : Illustration 1
