Cette reconnaissance est méritée, mais ne serait-il pas plus sérieux et digne d’améliorer rapidement les conditions de travail des personnels de santé, leurs perspectives de carrière, leurs salaires, de répondre ainsi en termes d'organisation professionnelle et donc de projet politique à ce qu’ils demandent justement depuis des années.
Qui peut tirer profit d’une société fonctionnant à ce point sur l’émotion et non plus sur la raison?
Une société où l’aumône, le pourboire, la gratification, le don tendent à se substituer de manière quasi structurelle à un impôt citoyen pensé et organisé pour mieux répartir les richesses?
On a peut-être la réponse quand on voit de nombreux champions (sociétés ou individus) de l’optimisation fiscale, de l’évasion fiscale, voire même de la fraude fiscale faire par médias ou réseaux sociaux interposés la promotion du don…