Bonjour tout le monde
Je remercie Laurent Brosse, grâce à qui je vous ai rencontrés, et grâce à qui il m’arrive en fait tout un tas de bonnes choses. Heureusement que je suis pas Conflanais, je serais capable de voter pour lui, tellement je lui suis reconnaissant !
Aïe ! Aveu d’rimes.
Le plus grand bonheur qui m’échoit grâce à not’ maît’ maire, c’est que j’écris enfin ! Rêve de gosse : être poète, écrivain, auteur de polars, de science fiction, rêve de jeune homme : écrire des essais. Toujours remis à plus tard, pour cause de paresse, et aussi de confort. Il faut être dérangé pour s’éveiller. Merci Not’ Maît’ ! Je ponds une page par jour !

Voilà ce que je veux être : ni le Malraux ni le Houellebecq, mais le Moi du ou de la futur.e maire de Conflans !
Les maires de Conflans, il y en a certains de célèbres, non ? Au moins deux. Rocard, dont on va reparler, et Bérurier (orthographe révisée par Frédéric Dard) ; l’anecdote raconte que c’est une sorte de vengeance qui lui a fait choisir ce nom pour le Goret. Le contentieux ne devait pas être fort lourd, vu l’amour que lui portent, aussi bien San-Antonio que Frédéric.
Je suis même devenu interprète ! Je vous dis pas de qui, ça vous fera une surprise. Voir un des tout prochains billets, sans doute aujourd’hui.
Jean-Max