Dans mon dernier billet, pour parler d’Aurélien Taché,le très bien nommé, j’ai mis une photo d’une profession de foi trouvée dans ma boite aux lettres. Mais c’est pas très efficace : pour les ceusses qui cherchent sur Google, vaut mieux du texte.
Voilà donc des vraies phrases. Ce sont celles de l’équipe de campagne LR de ma circonscription. À part un mot mal choisi (« amateurisme »), le portrait est concis et percutant, très authentique. Le niveau intellectuel et politique du zigue, à qui j’ai eu affaire en 2018, abyssal (le type ne doit son élection qu’au séisme Macron), n’est pas donné au premier degré, mais se déduit par touches, taches et points. Taché n’est pas un « amateur », c’est un « bulot ». Un « amateur » sait trouver son bureau de vote. Et la fidélité fait partie de l’amateurisme.
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Sortir Taché !
Parisien parachuté dans notre circonscription, opportuniste passé de Macron en 2017 à Mélenchon en 2022, condamné notamment pour insultes envers des policiers, député parmi les plus absentéistes de l'Assemblée nationale…
Son comportement indigne est une honte pour la République et pour les Français qu'il prétend représenter.
Face à cette haine de la France,je veux incarner une alternative crédible, sérieuse et exemplaire.
Opportunisme:
Socialiste jusqu'en 2016, élu député en 2017 avec Macron, il rejoint les écologistes en 2022, est réélu député en 2022 avec Mélenchon puis exclu de son parti en 2024.
Communautarisme et laxisme sécuritaire:
Favorable à la dépénalisation du cannabis (Le Figaro,juin 2019) vote contre le projet de loi Sécurité globale (mai 2021), contre le projet de loi protégeant les logements contre le squat (janvier 2023) et contre le projet de loi Immigration (janvier 2024).
Indignité :
Ivre, il perturbe une pièce de théâtre à Paris (Marianne, décembre 2022) ; condamné à 5000 € pour insulte envers un policier (France Info, septembre 2022).
Amateurisme:
Crie au scandale démocratique en se pensant radié des listes électorales, alors qu'il s'est simplement trompé de bureau de vote… dans sa propre circonscription (Le Parisien, juin 2024).
Voulez-vous vraiment lui accorder votre confiance ?