Nous y sommes. Le plongeon final est devant nous.
L’hypothèque des biens privés commencera par accaparer tous les bas de laine des citoyens moyens.
Avant tout, il faut fidéliser le chaland. Comme un commercial un peu lourd et peu crédible, notre omniprésident tiendra en otage ces souscripteurs gogos.
Pas question qu’un « Octobre rouge » passe par Besancenot !
Il faut de l’argent frais pour cette hydre machiavélique.
– Pas touche aux riches qui ont un bouclier pour se défendre, ces fameux copains qui ont facilité l’élection !
– Pas touche, également, aux gâchis à tous les niveaux (voyages, déplacement, dépenses ahurissants, investissements stupides, gaspillage incompréhensibles), aux orgies pantagruéliques de la caste des élites.
– Pas touche, aussi, à la sacrosainte consommation d'autrefois. On donne des primes d'une main que l'on reprend aussi rapidement de l'autre. Aucune réflexion comment consommer autrement ! D'ailleurs que reste-t-il à consommer "Français" ? Serions-nous un pays dortoir où tout se ferait à l'extérieur ? L'Etat ne serait-il qu'une société privée prélevant des taxes pour financer les services collectifs, les trucs non rentables ? Où est la gestion du bien commun ?
Pire que le système soviétique (ou tsariste pour l’emrpunt) vous dis-je !
Dans Les Echos, Gilles Carrez (UMP) disait : «Avec mes collègues, nous avons aussi évoqué l'idée d'un emprunt obligatoire, à taux nul ou faible, qui serait sollicité auprès des ménages aisés. La solidarité des plus aisés dans la crise que nous traversons s'exprimerait ainsi, non pas par une hausse d'impôt mais par une mobilisation partielle de leur épargne.»
Je suis persuadé que cet emprunt, cet impôt déguisé, cet "Emprunt Rus(s)e", comme un holdup, ne sera jamais remboursé.
D'ailleurs, comme l’argent-dette ne compte pas (jusqu’au jour ?!!) , avec bientôt nos 2000 milliards de dette, le pourrait-on ?