Il n'y a pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir.
Comme la grenouille mourant dans son verre d'eau de plus en plus chaud, où est la limite du supportable ?
Nous baignons encore aujourd'hui dans l'illusion la plus totale, la plus cynique. Quand l'idéologie conçoit l'Homme comme une quantité négligeable, voire supprimable, l'Humanité toute entière a du souci à se faire. Certains avaient prévu la solution "finale" (Le travail rend libre [arbeit macht frei]) avec ses millions de morts, d'autres, la seule solution "idéale" avec ses millions des morts presque transparents sur l'ensemble de la planète.
De même dans les entreprises, « work hard, have fun, make history » variables d'ajustement du Marché, avec ses dommages, le risque-profit est calculé :
http://www.mediapart.fr/journal/economie/231209/le-jour-ou-france-telecom-lance-son-crash-programme.
Un curé m'avait dit, jadis (ce qui m'a fait perdre la foi), "il faut de tout pour faire un monde, LA religion catholique est très ouverte".
Jusqu'à canoniser PIE XII et laisser le pouvoir à ces groupuscules dangereux comme l'Opus Dei ?
De même, avec l'accord secret entre le PCF et l'occupant nazi à Paris en août 40, le PCF aurait dû, pour le moins, changer de nom, comme le PS, qui le paiera très cher, se couchant devant le néolibéralisme, aurait dû également changer de nom.
Il y a des choses impardonnables.
Comme ont pu se dire Chamberlain et Daladier, où est la limite de l'acceptable et de l'inconscience ?