Jean-Michel LABROUSSE

Abonné·e de Mediapart

61 Billets

0 Édition

Billet de blog 10 mars 2016

Jean-Michel LABROUSSE

Abonné·e de Mediapart

Mémo du moment

C'est la faute de Mediapart si je tape ces quelques mots. Normalement je devrais être désinscrit et non autorisé. Je l'avais demandé.

Jean-Michel LABROUSSE

Abonné·e de Mediapart

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Jeudi 10 janvier ou mars 2016 😉

Nicolas Sarkozy est véritablement le Donald Trump Français.

La seule chose qu'il soit capable d'imaginer est la division par deux à grand renfort de haussements d'épaules.

Dieu lui même n'aurait pas su faire preuve de plus d'intelligence et de bon sens autoritaire.

Hormis ce cas "particulier", le monde politique me semble bien vide, même si "Juju" exprime avec une certaine justesse certains principes concernant l'annonce et les actes.

Le premier acte sanitaire à mes yeux serait d'interner Nicolas Sarkozy. En y regardant de plus près, sur la ligne d'appréciation qu'est la mienne, je pense qu'il faudrait prévoir un internat pour accueillir un grand nombre de personnes politiques, toutes tendances confondues.

Le sujet est vaste dans la pratique, je pense au cas Molinier allias "moulinette" patronne de ne je sais plus trop quel organisme comptable reconnu d'utilité publique.

En grattant un peu, je ne serais pas surpris que l'on finisse par découvrir que ceux qui estiment que l'on paye trop d'impôts ou trop de charges sociales bénéficient finalement du "système" pour arrondir leurs fins de mois. Souhaitons leur que cela dure.

Toutes proportions gardées, quand je prendrai ma retraite, ma marge de bénévolat connaitra une certaine croissance, si Dieu me prête vie.

Sans avoir changé de place mais avec quelques heures de décalage horaire, et bien qu'une fois de plus je crois avoir déjà évoqué la question, j'estime qu'il y a soit une vaste hypocrisie soit un vaste silence soit un mélange des deux en fonction des sources qui abordent d'une manière ou d'une autre la question du "coût du travail " et donc les "charges sociales" qui faut-il le rappeler alimentent entre autres les pensions de retraite. On entend de temps à autre certains courants préconiser un SMIC (net) à 1500€, je suis loin de considérer que ce serait une mauvaise chose, mais j'estime que cela mérite d'être confronté au contexte de la "compétitivité". Ceux qui militent pour le SMIC à 1500€ n'abordent pas cet aspect et n'offrent pas de solutions à cette problématique de la compétitivité, ils éludent cet aspect. A l'opposé, ceux qui militent pour la baisse des charges sociales et plus ou moins le gel des salaires, donc acceptent le jeu de la compétitivité plus ou moins sans règles, taisent les conséquences ou n'exposent pas clairement leurs solutions pour le financement des couvertures sociales au sens large (pensions de retraite incluses) réputées déjà sous tension et à mon avis sérieusement menacées par ce sale jeu de la compétitivité. Même la fameuse TVA sociale qui avait sa cohérence s'était révélée à mes yeux ne pas présenter toutes les garanties que l'on pouvait en attendre. 

Je crois avoir très bien résumé ma façon de voir les choses en disant que j'étais dans une certaine mesure moi aussi un ultra-libéral en me référant à l'exemple de deux artisans (français) du bâtiment qui font un devis pour le même projet de travaux.

Comme pour beaucoup d'autres domaines, je ne crois pas que transférer au privé  les "couvertures sociales" et la collecte des cotisations soit "LA SOLUTION" miracle, économique ou rentable, sérieuse et "humaniste" et affirmer le contraire ne suffirait pas à me convaincre. Je pense d'ailleurs que le cas des mutuelles et des complémentaires santé est un excellent sujet analytique pour relativiser tout au moins l'intérêt d'une "privatisation" des couvertures sociales.

Tout cela je l'ai déjà dit, mais comme aurait dit ce cher Devos, même si je n'avais rien à dire je ne le garderais pas pour moi.😀

Pour quelques instants de rire, faire un copier-coller du lien ci-dessous à l'endroit approprié de votre navigateur. Vous pouvez également faire une recherche sur Devos "parler pour ne rien dire", j'ai moi-même eu quelques surprises en redécouvrant ce sketch et un ou deux autres.

https://www.youtube.com/watch?v=Td4pqnCCo0M 

Lundi 14 mars 2016  Un mémo c'est normalement pour ne pas oublier donc....

Chômage structurel?

Il y a quelques jours Frédéric Lefebvre évoquait une statistique ou une étude du M.I.T. qui prévoyait la "destruction" de centaines de milliers d'emploi en Europe (il me semble) du fait du développement de l'automatisation  et de la robotisation. Je rejoins assez facilement Frédéric Lefebvre sur l'importance de la question presque sociétale que posent ces prévisions.

Dans la pratique cela ne constitue que la continuité d'un processus amorcé il y a déjà longtemps et je crois qu'un jour ou l'autre il faudra, ce que suggère F.L., se pencher sérieusement sur les remèdes possibles aux conséquences de cet aspect du progrès. Dans une certaine mesure tous les politiques sont concernés. Pour ce qui est spécifiquement de F.L., au-delà de la presque élégance d'avoir évoqué ce sujet, va-t-il en faire un challenge personnel et mettre dans la balance sa carrière politique si de la question il ne passe pas à la réponse?

Une forme d'hypocrisie?

Il n'y a pas très longtemps, Ségolène Royal évoquait la taxe carbone versus transport des marchandises, très clairement en rapport avec des produits d'importations tel que moutons néozélandais qui arrivent sur notre territoire avec des prix "ravageurs".

C'est sans doute plus sympa que de parler de distorsion de concurrence ou de protectionnisme, toutefois, avec un brin de cynisme je serais tenté d'interpeller madame Royal pour lui demander à quelle échéance on peut espérer que survienne une configuration planétaire du système solaire propice à la mise en place de cette taxe carbone?

Au moins s'agissant du mouton, au-delà de la seule logique écologique et d'économie d'énergie, il me semble que cette taxe carbone devrait redonner un peu le sourire aux éleveurs ovins.

Pourquoi la compétition économique internationale est un vecteur primitif de conflit et ou de mort? 

Je vous laisse deviner.

Logo mal choisi?

Je ne sais pas si cela aussi c'est à mettre au registre des mauvaises influences de Nicolas Sarkozy (😀) mais le logo de "Les Républicains", moi  quand je le vois, je ne lis pas "LR" mais "IR" comme Impôt sur le Revenu. Je suis sérieux et sincère. Ce n'est pas spécialement que je souhaite rendre service aux Républicains en les "alertant", mais c'est le côté évocation presque contre nature qui me fait réagir.

Samedi 19 mars 2016: vous n'aimez pas les abeilles?

Après avoir vu quelques images d'une intervention de Philippe Vigier (UDI) à l'Assemblée Nationale, il est probable que ce député se défendrait de toute antipathie pour la faune apicole, mais que les affaires sont les affaires. J'évoquais un peu plus tôt les divers problèmes liés à la compétition ou à la concurrence internationale et il est clair que les propos de monsieur Vigier argumentent en ma faveur quant à la mortalité, au premier degré s'agissant des abeilles en relation avec les néonicotinoïdes. Insuffisant malheureusement pour inculper maître Vigier de complicité de meurtre, dans son argumentaire contre l'interdiction des néonicotinoïdes il a l'alibi de s'opposer à la création d'un facteur supplémentaire de distorsion de concurrence. 

Je n'ai pas mémorisé le chiffre de la chute de la production française de miel en quelques années, mais c'est une catastrophe, il y a pourtant le "marché" chez les consommateurs français.

Il y a quelques jours, un reportage sur France 2 au JT de 20 heures narrait une partie de l'histoire du cornichon et de son voyage d'Inde en France..."Juuuuteux", pour certains tout au moins, le cornichon d'Inde, cela vaut bien quelques "Rafales", hélas...

Ce n'est pas une nouveauté, la mondialisation dont l'histoire se poursuit n'est vraiment pas pour moi le phénomène de la fin du XXème qui mérite la palme d'or des évolutions. Entre nous, taxe carbone et démondialisation c'est un peu la même chose, ce sera un coup de chance si la mise en place de cette taxe carbone  intervient de mon vivant.

Alors, il reste quoi dans mes bulletins de vote potentiels? UDI poubelle, LR poubelle, PS poubelle, cela se restreint sérieusement...

Lundi 21 mars: vais-je arriver à décrocher?

Pourquoi décrocher?

Parceque j'ai l'impression de perdre mon temps le plus souvent, même si parfois je trouve mon compte à m'exprimer. Je pense d'ailleurs que sans atteindre l'hypocrisie et estimant que je pourrais faire des choix et m'associer à des courants écologistes en premier lieu pour des raisons "intellectuelles" assez flagrantes, le sort des générations futures et le destin de l'espèce humaine ne me préoccupent pas tant que cela.

Vous reprendrez bien un peu de miel, non?  

Je n'ai pas assisté à la totalité des débats récents à l'Assemblée Nationale concernant l'interdiction ou non des néonicotinoïdes, et ne sais donc pas quels sont les divers aspects qui ont ou n'ont pas été évoqués.

Par voie de conséquence diverses interrogations restent en suspens concernant en particulier les raisons qui sont à l'origine de l'effondrement de la production française et la part proportionnelle de ces raisons ou causes:

- concurrence prix des productions étrangères entraînant la cessation d'activité d'apiculteurs.

- impact des pesticides sur le "cheptel" d'abeilles.

- impact d'éventuelles variations culturales ou réduction du parc fruitier.

- comparaisons internationales des variations de production de miel et relation éventuelle avec le degré d'utilisation des pesticides suivant les pays ou régions.

J'évoquais samedi une certaine "rupture" chez moi avec les grands partis (UDI, LR, PS), dans le flou de ce que l'on peut appeler les "sensibilités" plutôt que les convictions il est assez évident que mon propre "feeling" tendance "peau-rouge" (à interpréter comme l'image des cultures amérindiennes) me distancie de ces courants par le simple fait qu'ils sacrifient beaucoup trop de choses à la finance, à l'économie, à l'européisme, au mondialisme économique libéral en mode "business", parce qu'ils sacrifient cette priorité que pour ma part j'accorderais aux multiples aspects de l'écologie quitte à sortir de l'UE simplement pour ce qu'elle ne permet pas d'organiser. Comme je l'ai déjà dit, il ne faut malheureusement pas s'attendre à ce que la gouvernance actuelle tape du poing sur la table pour faire valoir ne serait-ce qu'un soupçon de spécificité française qui ne soit pas uniquement celle de la "culture" ce qui en soi à mes yeux ne signifie plus grand chose puisque même la langue est lentement sapée par les anglicismes et l'anglophonie. Si je devais en rajouter une couche, l'approche vis à vis du nucléaire le refus de voir ce que cela représente véritablement, tous les retranchements derrière des raisons économiques pour justifier le maintien de cette filière, constitue une bonne illustration de mon point de rupture.

Je pense que le procès que l'on tend à faire au souverainisme l'assimilant sans doute à un nationalisme hermétique est tout aussi crapuleux, malsain ou plus modestement injustifié comme en d'autres temps on assimilait tout ce qui se rapprochait d'une forme de protectionnisme économique à un repli sur soi, tout comme on a fustigé l'idée de "démondialisation".

Dans la pratique, mes "motivations" sont un peu plus complexes et difficiles à gérer en raisons des zones d'incertitudes "morales" auxquelles je me heurte. Dans une certaine mesure, c'est un peu la faute de monsieur Gurdjieff même si le chapitre "grâce à lui" est plus volumineux. 

Mercredi tard 23 mars 2016

Qui est Gérard Larcher au-delà du Président du Sénat?

Je n'ai pas très bien compris à quoi il voulait en venir à l'occasion d'une déclaraton du jour où il annonce "bien que gaulliste" qu'il faudra peut-être "accepter l'abandon de certaines souverainetés".

Dans une certaine mesure peut-être même large, cela fait longtemps que l'on a déjà laché la bride aux accords internationaux, mais s'il s'agit de parler de sécurité il me semble que la communication, la transmission des informations, la coordination internationale ne nécessitent pas que quiconque exerce une tutelle pour que les choses fonctionnent si on s'accorde sur les délits ou crimes qui justifient que les responsables soient  traqués où et qui qu'ils soient.

Je ne sais pas très bien quelle interprétation s'imposerait d'un éventuel "second degré" de la déclaration de Gérard Larcher.

Si j'avais titré "suis-je capable de méchanceté?" j'aurais eu d'autres choses à évoquer au sujet de Gérard Larcher, tout Président du Sénat qu'il soit.

Vous en reprendrez bien pour quelques années, non?

Manière d'introduire un commentaire suite à quelques mots échangés cet après-midi avec un concitoyen concernant le chômage des "anciens" qui parait-il devient redoutable à partir de 50 ans. La conversation portait sur certains projets de repousser l'âge légal de la retraite à 65 ans et les conséquences que cela pouvait avoir pour les personnes concernées qui faute d'avoir ce pouvoir de trouver un employeur en claquant des doigts, faute d'avoir ce pouvoir de vivre d'autre chose que de minimas sociaux, allaient en prendre pour deux voire trois ans de plus.

Il est clair que sur ce genre de sujet comme sur beaucoup d'autres, je n'ai pas vraiment de compliments ou de bravos à exprimer à destination des politiques même si leurs "logiques comptables" me sont compréhensibles.

Que pourrait-être une spécificité française?

Faire valoir auprès de l'U.E. que l'on ne veut plus utiliser sur le territoire de néonicotinoîdes (par exemple) et que l'on revendique cette liberté de refuser de laisser s'introduire sur le territoire toute denrée comestible qui pourrait en contenir ne serait-ce que des traces.

Curieux tout de même si ce n'est incroyable, comment cette U.E. qui se veut si démocratique s'est transformée en organisme totalitaire sur les "modalités commerciales", sur la question de la concurrence.

J'ai un doute à chercher d'autres arguments, car il parait que la France est le plus gros consommateur utilisateur de pesticides en Europe, ce qui ne manque pas de susciter quelques interrogations quant au caractère de contradiction apparente de certains débats. Particuliers, agriculteurs, quels "pesticides", il faudrait préciser.

Dimanche tôt 27 mars 2016

A quoi sert Daniel Cohn Bendit?

Je me le demande vraiment et en dehors d'être devenu un commentateur politique comme n'importe quel autre, il me semble que son discours est sans "idée" ou sans perspective écologique ou sociétale si ce n'est qu'il demeure à priori européiste même si je pense qu'il serait plus à sa place en commentateur footballistique.

Après tout, c'est la responsabilité de ceux qui l'invitent.

Je raconte tout cela parce que je suis en train de me "farcir" DCB sur ONPC de France 2 dont je m'amuse parfois du "flop ten", dont je suis curieux du propos des invités politiques ce qui généralement se termine un peu comme la récompense pour avoir patienté de voir les dessins sélectionnés. Je crois que je vais retourner sur HD1 s'il y a encore un épisode des "Experts Manahatan", peut-être une rediff vue ailleurs et tant pis pour les dessins des humoristes.

Pour ce qui est de ONPC, le parisianisme spectacle ne me branche pas vraiment.

Jeudi 31 mars 2016

Bon plan ou plan malsain la TVA sociale?

Une fois de plus, je n'avais qu'une oreille sur la télé et n'ai pas vu qui en début d'après-midi a de nouveau évoqué cette idée comme voie d'avenir (grosso modo) du financement des couvertures sociales.

Quoi qu'il en soit, si on regarde cela simplement sous l'angle du financement des retraites, je reste convaincu que ce mécanisme constitue en partie un moyen de diluer sur la plus grande masse le financement des pensions de retraite des classes supérieures de revenu. Le système actuel ou un autre permettant de proportionner ou relier les cotisations ou contributions sociales au salaire reste à mes yeux le plus équitable.

Au passage, si le dieu de la simplification n'a pas encore quitté la planète Terre, à mon avis, il y a quelques points où on peut progresser comme par exemple faire disparaître sur les bulletins de salaire cette séparation virtuelle entre cotisations salariales et patronales et d'autre part fusionner cotisations vieillesse de base et complémentaires qui si ma mémoire est bonne sont obligatoires. Au maintien des choses en l'état je ne vois comme seule justification un conservatisme archaïque, n'en déplaise aux "partenaires sociaux" qui auraient leur mot à dire. Chose déjà dite également, comme la relation de cette voie de simplification avec les économies d'encre et peut-être d'énergies diverses si on pousse l'analyse économique au bout. 

Pour ce qui est de la seule "TVA sociale", je ne vais pas de nouveau rentrer dans tous les détails et aspects liés à cette idée, d'ailleurs pourquoi le ferais-je? Juste pour les incurables peut-on rappeler que la TVA est par définition inégalitaire et pénalise davantage les faibles niveaux de revenus.

Vendredi 32 mars 2016

A qui faudrait-il poser la question?

Derrière le sujet de la TVA sociale et quelques autres se cache mal la question de la compétitivité.

L'UE supporterait-elle que la France mette en place unilatéralement une "taxe carbone"?

Sur le plan pratique le paiement de cette taxe carbone s'imposerait aux entreprises qui achètent des marchandises, les services étant à priori exclus. Par ailleurs, rien n'interdit et ce serait même logique de relier la taxe carbone à la distance parcourue par les marchandises. Sur le plan pratique toujours, il n'est pas nécessaire d'installer partout des portiques et détecteurs ni de renforcer les barrières douanières mais potentiellement simplement les contrôles fiscaux. Même si on peut faire une analogie avec une forme de protectionnisme et s'interroger sur le "retour de bâton" vu sous l'angle de la démarche unilatérale, de toute manière même vu sous l'angle de la réciprocité et de la généralisation internationale du principe de la taxe carbone il y a à mon sens une saine logique porteuse d'intérêt général universel, écologique et socio économique à tendre à relocaliser ce qui peut l'être que l'on se place ou que l'on regarde les choses de Chine, de France ou d'ailleurs.  

Cela fait-il clairement partie des projets associés aux résultats de la dernière COP21?

Bonnet blanc et blanc bonnet?

Dans le courant de la semaine, il y a eu une actualité accentuée au sujet de la chute des dotations aux collectivités locales, de la chute résultante  de leurs possibilités d'investissement et des conséquences économiques (emploi compris) que cela pouvait induire.

Pour ma part je reste interrogatif et aurais aimé que l'on m'explique la différence fondamentale entre ces deux chevaux de bataille de la réduction  des dépenses publiques que sont la diminution du nombre de fonctionnaires et la réduction des investissements. Au premier regard, les conséquences sur l'emploi sont potentiellement les mêmes.

Curieux une fois de plus que l'on ne mette pas en face de ces différents chiffres celui des intérêts de la dette d'Etat et cette ligne d'horizon incertaine, normal, la Terre est ronde, que serait un financement de l'Etat à taux d'intérêt 0 qui rendrait également et potentiellement la question de la dette moins pesante. Si l'on se penche sur l'héritage financier qu'on laissera aux générations à venir, objet d'indignations de certains, souvent à droite, il me semble que le rôle de la BCE et éventuellement celui ressuscité de la Banque de France  ne devrait pas quitter les programmes politiques mais au contraire s'y réimplanter avec force.

Vais-je renouveler mon abonnement à Mediapart?

J'ai vraiment du mal à me décider. Réponse imprévisible...

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

L’auteur n’a pas autorisé les commentaires sur ce billet