Climat : les grands mensonges de l'ONU, des gouvernements, de l'UE et des médias.
Nul n'ose dire qu'il n'y a plus de réchauffement climatique depuis près de 20 ans et que les projections des modèles numériques se plantent lamentablement, ce qui confirme que leur crédibilité est nulle, tout comme les thèses du GIEC qui en sont le socle. Nul n'ose dire que le CO2 est gaz de la vie, indispensable à la photosynthèse, et que, grâce au taux actuel de 400 ppm, la planète reverdit et les récoltes sont meilleures. Nul n'ose dire qu'il n'y a aucune preuve scientifique que le CO2 ait une action mesurable sur la température, et nul n'ose dire que 1300 publications scientifiques récusent les thèses du GIEC/IPCC. Nul n'ose dire que la montée "cataclysmique" des océans n'est que de 1,5 mm/an depuis belle lurette, et qu'aucune accélération n'a été identifiée. Pourquoi ? Parce qu'il y a convergence d'intérêts. Je mets un carton rouge à nos médias serviles et aux ONG qui font caisse de résonance à la Pensée Unique et sont les principaux vecteurs de propagande réchauffiste (notamment, mais pas seulement, l'AFP)
Transition énergétique : les grands mensonges sur les EnR
Nul ne dit qu’elles sont aléatoirement intermittentes, que leur facteur de charge est faible (21% pour l’éolien et 13 % pour le solaire), que leur emprise au sol est très importante, qu’elles générent des infrasons ayant des effets sanitaires néfastes pour les riverains, qu’elles tuent de la biodiversité ailée, que les promoteurs disposent d’avantages déraisonnables accordés par nos gouvernants, que le kWh des EnR doit être racheté à prix conventionné, élevé, par EDF, même si cette production ne sert à rien, que les infrastructures complémentaires coûtent fort cher pour ces production dispersées, et qu’il faut des centrales thermiques en soutien permanent des EnR, pour pallier à l’ntermittence et à la puissance variable.
Nul ne dit que les citoyens, dont des écologistes de terrain responsables, se battent pour sauver nos territoires de l’intrusion dictatoriale des aérogénérateurs et dénoncent les mensonges et la rapacité des promoteurs.
Nul ne dit que la production annuelle des EnR intermittentes n’est que de 5,3% (3,9 pour l’éolien et 1,4% pour le solaire), alors que cela coûte 5 Md€ aux ménages...et que ce coût va augmenter exponentiellement dans les prochaines années...
Nul ne dit que, comme les EnR ont besoin en soutien permanent de centrales thermiques qui sont obligées de fonctionner en discontinu, donc consomment plus, le bilan CO2 (même si le CO2 n’a aucun impact mesurable sur la température) est significatif (voir l’exemple de l’Allemagne, champion des EnR et champion des émissions de gaz satanique...).
Bref, faire pire semble difficile...
Usque tandem, delirium energicum, abutere patientia nostra ?