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Retraité / investigations et recherche de la vérité partout où elle se cache (où on nous la cache)

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Billet de blog 9 octobre 2021

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Taubira a-t-elle protégé Bernard Tapie en 2016 ?

Taubira garde des Sceaux a-t-elle protégé Bernard Tapie en 2016 ? Bonne question ! Baylet (Toulouse-Tarn et garonne, dépèche du midi) / Tapie / Taubira = PRG ..... hum c'est bien louche tout ça .. En tous cas bravo à Laurent Mauduit (et Charles de Courson) pour avoir fouiné dans cette mafia nauséabonde ..

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PRG = Parti Radical de Gauche ... patron : Jean Michel Baylet .... 

1994-1996 : Radical

Logo de la liste Énergie radicale aux élections européennes de 1994.

La liste « Énergie radicale » conduite par Bernard Tapie aux élections européennes de 1994 obtient 12,0 % des voix et 13 élus : Noël MamèreBernard Tapie, Jean-François HoryCatherine LalumièreChristiane Taubira, Michel DaryAndré SainjonBernard CastagnèdeOdile Leperre-VerrierPierre PradierChristine Mustin-MayerDominique Saint-Pierre et Antoinette Fouque.

1996-1998 : Parti radical-socialiste[modifier | modifier le code]

En janvier 1996, Jean-Michel Baylet succède à Jean-François Hory et s'associe avec une autre figure médiatique, Bernard Kouchner qui est alors nommé « président délégué à l'innovation politique11 ». Le parti est rebaptisé Parti radical-socialiste (PRS) le 6 août 19967.

Aux élections législatives de 1997, au sein de la gauche plurielle, le PRS obtient 14 élus ou apparentés et participe au gouvernement. Jusqu'en 200212, ces députés siègent à l'Assemblée nationale aux côtés des Verts et des chevènementistes au sein du Groupe radical, citoyen et vert (RCV).

1998-2017 : Parti radical de gauche

Présidence de Jean-Michel Baylet (jusqu’en 2016)[modifier | modifier le code]

Jean-Michel Baylet, président du parti de 1996 à 2016, candidat à la primaire de gauche de 2011.

Le parti est rebaptisé Parti radical de gauche le 13 janvier 19987.

Durant l'élection présidentielle de 2002, le PRG choisit d'être représenté par une personnalité non membre, Christiane Taubira, députée de Guyane. Cette décision crée au sein du PRG de fortes tensions, plusieurs de ses élus et dirigeants et au premier plan d'entre eux Émile Zuccarelli choisissant de soutenir la candidature du républicain Jean-Pierre Chevènement. Christiane Taubira obtient 2,32 % au scrutin présidentiel. Elle intègre provisoirement le PRG en qualité de vice-présidente avant de renoncer à cette fonction en 2005 

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Si vous ne savez pas ce que je reproche à Jean Michel Baylet, lire mes billets de blog sur l'affaire Jean Eudes Lombard .. assassinat en bande organisée maquillé en suicide sur voie ferrée, pour trafic d'organes le 25-26 septembre 2008 (année du scandale Tapie protégé par Sarkozy et Cie puis l'affaire de Tarnac ...).

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Article de Laurent Mauduit du 7 janvier 2016 :

ttps://www.mediapart.fr/journal/france/070116/affaire-tapie-charles-de-courson-interpelle-christiane-taubira/commentaires

Au travers d'une question écrite, le député (UDI) Charles de Courson interpelle Christiane Taubira sur le comportement étrange du parquet dans les dernières péripéties du scandale Tapie.

LES STUPEFIANTES MANOEUVRES DU PARQUET DANS L'AFFAIRE TAPIE ....

Avec quelques élus ou dirigeants politiques dont le président du Modem, François Bayrou, le député (UDI) de la Marne Charles de Courson aura décidément été l’un des rares à chercher constamment à faire émerger la vérité, du début jusqu’à la fin de l’affaire Tapie. Il en avait administré la preuve dès les premières semaines du scandale, à l’été 2008, en jouant un rôle moteur au sein de la commission des finances de l’Assemblée nationale pour que celle-ci fasse le jour sur l’arbitrage. Et bientôt huit ans plus tard, il ne désarme toujours pas : il vient ainsi d’adresser une question écrite à la garde des Sceaux, Christiane Taubira, pour l’interroger sur l’étrange comportement du parquet, placé sous son autorité, dans les dernières péripéties judiciaires de l’affaire.

Comme Mediapart l’avait révélé, on se souvient ainsi que le parquet avait fait le choix stupéfiant de ne pas être représenté le 29 septembre 2015, lors de l’audience de la cour d’appel de Paris consacré au volet civil du scandale (lire Les stupéfiantes manœuvres du parquet dans l’affaire Tapie), estimant qu’il s’agissait d’une affaire privée – même si 404 millions d'euros publics étaient en cause ! Puis, juste avant que la même cour d’appel rende son arrêt, le 3 décembre, condamnant l’ex-hommes d’affaires à rendre son magot (lire Tapie ruiné, la Sarkozie en danger), le même Parquet ne s’était pas opposé au tribunal de commerce de Paris à ce que les deux principales sociétés de Bernard Tapie profitent d’une procédure de sauvegarde, ce qui les mettaient par avance à l’abri de toute visite d’huissiers que l’État aurait pu dépêcher pour réclamer son dû (lire Le parquet volet au secours de Tapie).

etc ... lire l'article ...

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