Jean-Eudes travaillait chez Mercator Océan, société filiale du CNES, installée à Ramonville au sud de Toulouse. La société Mercator Océan avait pris une assurance décès chez Humanis dans le cadre de la prévoyance santé.
Lors du décès d'un salarié, Humanis verse une somme d'argent à la famille sauf si apparaissent certains éléments dont en premier lieu le suicide.
Il se trouve que lorsque'Humanis nous a averti de celà l'enquête était en cours, j'avais même sûrement porté plainte contre X pour homicide en août 2009.
Il nous a été demandé d'attendre les conclusions de l'enquête.
Le 1er non-lieu a été rendu le 11 lanvier 2012 puis confirmé en appel en octobre 2012, puis en cassation en juin 2013.
J'ai alors contacté Humanis pour leur signaler. Début 2014 on nous a indiqué que le dossier était au service juridique. Ils m'ont alors demandé les arrêts de justice et il y a eu quelques aller-retours où je leur ai expliqué comment celà s'est déroulé et, en particulier, les failles de l'enquête (absence de la téléphonie etc ..) et les faux (il est écrit à plusieurs endroits que mon fils marchait sur la voie ferrée .. invention totale).
Après plusieurs relances, dont la dernière en décembre 2015, Humanis a validé le versement. J'ai donc appelé pour savoir pourquoi ce dossier trainait depuis juillet 2013. La réponse a été que le dossier a été étudié en détail pour décider finalement que ce n'était pas un suicide.
Cette décision importante de la part d'un organisme doté d'un service juridique, dont la mission est de trouver et exploiter tous les motifs possibles pour ne pas payer, démontre qu'en n'acceptant pas les conclusions de diverses instances judiciaires qui prétendent que Jean-Eudes s'est suicidé, je ne fais pas du complotisme. Il est bien normal, par ailleurs, que le refus obstiné de rouvrir le dossier malgré des éléments nouveaux d'une part, comme le silence médiatique d'un journal local mais aussi de journaux nationaux d'autre part, m'aient conduits à m'interroger sur l'existence de réseaux de complicité pour que la vérité n'apparaisse pas.
Ce billet est donc un nouvel appel pour que l'ensemble de l'affaire soit reprise à zéro ... au lieu de suggérer que le père que je suis délire et qu'il est plus simple de m'empêcher de publier ce que je ne cesserai pas de répéter tant qu'une nouvelle enquête n'aura pas été conduite par des personnes n'ayant aucun rapport avec les enquêteurs initiaux.
LES FAITS RIEN QUE LES FAITS.
============= REPONSE AU CONCOMBRE DEMASQUE =================
- 12/02/2016 12:28
- PAR JEAN63
Réponse au concombre masqué :
Le dernier arrêt rendu valide cette thèse (accident), ce qui oblige de facto la compagnie d'assurances à remplir ses obligations.
NON JE L'AI DEJA EXPLIQUE DANS LA REPONSE A VOTRE 1ER COMMENTAIRE, LE DERNIER PV DE SYNTHESE DES GENDARMES (avril 2010) CONCLUE A SUICIDE.
COMMENT OSEZ-VOUS ECRIRE CA SANS CONNAITRE LE DOSSIER EN ENTIER ?
Ce qui est écrit est ARCHI FAUX, je corrige donc :
1 - août 2009 : PV de synthèse de l'enquête préliminaire du proc Boyer = accident (pour me faire plaisir pour que je ne porte pas plainte pour homicide).
2 - plainte acceptée en août 2009
3 - avril 2010 dans l'instruction de la juge Dournes : PV de synthèse des 2 mêmes OPJ = SUICIDE ... la juge Dournes n'a rien conclu car parie en maladie en mai 2010 (ou déssaisie du dossier).
4 - janvier 2012 : non-lieu du juge Colson : ce n'est pas un homicide mais JE a absorbé du lexomil (donc c'est un suicide ... implicitement).
5 - appel : confirmation du non-lieu en nov 2012
6 - cassation : idem en juin 2013
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- 12/02/2016 10:46
- PAR JEAN63 EN RÉPONSE AU COMMENTAIRE DE LE CONCOMBRE MASQUÉ LE 12 FÉVR. 2016
REPONSE AU CONCOMBRE MENTEUR :
Allez concombre va encore montrer sa mauvaise foi.
Les juristes d'Humanis sont surement des incompétents (ils ont étudié le dossier pendant 2 ans).
Cest bizarre mais l'assassinat ça vous gêne .... pour un rugbyman de la région de St Etienne on se demande bien quelle peut être votre motivation à vouloir que ce ne soit pas un assassinat alors que tout prouve que c'en est un maquillé en suicide.
Je vais encore en apporter toutes les preuves, tous mes billets détaillés ne suffisant pas à Mossieur "je sais tout mais je ne connais rien".
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Concombre masqué a écrit :
Le dernier arrêt de justice concernant l'affaire de Jean-Eudes retenait la thèse de l'accident
FAUX, vous connaissez mal le dossier.
Ils ont conclu à accident c'est dans le 1er PV de synthèse d'avril 2009 lors de l'enquête préliminaire du vice-proccureur Francis Boyer (pièce D65-D66). Sauf que là je n'avais pas encore vu le dossier que j'ai eu seulement en septembre 2009 un an près la mort de mon fils .... et là tout a changé.
Demandez à vos amis les gestionnaires du "club médiapart" de vous founir ces pièces D65 et D66 que j'avais mises en pièces jointes dans un billet de ce blog et qui ont disparu (il n'y a plus les pièces jointes sur les billets depuis la mise en place du nouveau logiciel ).
Les 2 enquêteurs de la BR se sont ensuite aperçu que ça ne collait pas avec la présence d'un corps sur une voie ferrée (au beau milieu) pendant plus de 6 heures alors qu'il est passé 140 trains entre 19h et midi le lendemain : témoignage de Zanchetta CDT SNCF dans sa lettre au juge + audition du dernier conducteur de la matinée du train 3630 Cerbere-Paris passé vers 11h45).
Lors de l'instruction de la juge Martine Dournes, suite à ma plainte d'août 2009 (validée par mon versement de 4000 euros de consignation quand même, ne sachant pas si je les récupérerais un jour), les mêmes OPJ Bégué et Devaux de la BR deToulouse St Michel ont conclu que Jean Eudes s'était suicidé en se jetant justement sous le dernier train 3630 vers 11h45 (qu'a-t-il fait entre 19h et 11h45 , soit 17 heures de nuit au bord d'un canal avecl'humidité par 10°C la nuit en polo à manches courtes? zone d'ombre pas élucidée par le enquêteurs).
Les 2 OPJ ont donc conclu à la fin de cette instruction baclée et sabotée avec l'aval de la juge Dournes, que Jean s'est suicidé ( PV .. je cherche .. idem déjà produit dans un billet de ce blog et disparu). J'ai fourni ces PVs de synthèse et l'arrêt de non-lieu de Colson à Humanis plus des détails sur le contexte de la découverte du corps.
Ce n'est qu'ensuite lors de la reprise de l'instruction par le doyen des juges Philippe Colson en octobre 2010, qu'il concluera que ce n'est pas un homicide laissant planer un gros doute mais appuyant sur le fait que JE avait du lexomil dans le sang ( la soumission chimique n'existant pas bien entendu ..).
Etant donné la zone d'ombre de 17 heures qui n'a pas été explorée par les enquêteurs, et que l'homme qui arrive au volant de la 205 sur le parking n'est pas Jean Eudes (un homme de 30-40 ans avec une veste grise ...etc). Il a été kidnappé à Ramonville à la sortie de son travail vers 18 heures et sa voiture a été conduite à l'écluse d'embalens à 25 kms de Toulouse pour brouiller les pitses. C'est dans ce contexte que je veux faire réouvrir le dossier et chercher ce qui s'est passé à la sortie de son travail.
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C'est FAUX et MENSONGER ce que raconte concombre. Quel intérêt à me discréditer alors qu'il ne connait pas le dossier ?
.... et la chaussure droite posée contre le rail intèrieur c'est JE qui la mise là après être passé sous le train ? pff.. et s'il n'y avait que ça ... ASSASSINAT maquillé en SUICIDE une HONTE.
.. et le corps au thorax détruit alors que le polo est quasi intact à quelques mètres du corps ? pas de slip, pas de pantalon, pas de polo ...... donc le corps était nu en passant sous un train .. il marchait donc nu sur la voie ferrée ou plutôt il s'est couché nu en travers des rails ? pfffff et personne n'a vu mon fils ni debout ni couché ni mort sur la voie ferrée.
Je peux continuer très longtemps comme ça ...
C'EST UN ASSASSINAT MAQUILLE EN SUICIDE .... point barre.
Prochaine étape : le faire dire par la Justice de mon pays.
RECOMMANDER (9)
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EN SOUVENIR DE JEAN EUDES :
