Mail ce matin à l'avocat Maitre de C. à Toulouse :
LOMBARD Jean <jeanlombard4@yahoo.fr>
À
Aujourd’hui à 7h41 AM
Maitre,
Hier soir sur NRJ12 dans l'émission CRIMES, les familles de 2 jeunes "suicidés" très étranges à Pau, en 1998, sont venu lancer un appel à témoins.
Dans les 2 cas, les enquêtes ont été sabotées et police et justice sont restées sur la conclusion aberrante du suicide alors que beaucoup d'investigations n'ont pas été faites.
Je suis en contact depuis longtemps avec le frère d'Alain Dubois.
Il y a 2 coïncidences étranges avec mon fils : Alain Dubois et Emmanuel Bouchet, comme mon fils Jean Eudes n'avaient que la chaussure droite, la gauche a disparu..
Ceci ressemble étrangement à un rituel ésotérique (satanisme ? ).
Dans les 2 cas qui protège-t-on à Pau et à Toulouse ? pourquoi police et gendarmerie sont si arc-boutées sur la thèse du suicide et n'en démordent pas malgré les évidences que c'est un crime ? Pourquoi la justice les suit les yeux fermés et ne réalise pas les actes demandés par mon avocat (dont la téléphonie sabotée dans l'enquête préliminaire du vice-procureur Boyer et l'instruction de la juge Martine Dournes, qui auraient permis d'aboutir à la vérité = CRIME ou ASSASSINAT).
Pourquoi la juge Dournes a fait semblant de chercher la vérité et n'a pas demandé le minimum obligatoire : la téléphonie et le téléphone portable ? Pourquoi a-t-elle été remerciée (déssaisie selon elle, à moi au téléphone, des années plus tard ) ou bien est-elle tombée malade (selon mon avocat passé à son bureau) au bout de 6 mois d'instruction ?
Pourquoi le doyen des juges Colson a-t-il enterré cette affaire sans faire aucune investigation et en en restant aux conclusions "suicide" des gendarmes de la BR en avril 2010 (suicide sous le dernier train de la matinée = IMPOSSIBLE), bien qu'il n'ait pas osé lui-même conclure à un suicide.
En effet il n'y a plus eu d'enquêteurs dans l"'instruction du juge Colson après le mois d'avril 2010 dans ce dossier, comme si la justice avait accepté la conclusion "suicide" des gendarmes ... cet étouffement volontaire par les autorités est cousu de fil blanc : gendarmerie et justice SAVENT ce qui est arrivé à mon fils = DENI DE JUSTICE.
Gendarmerie (police à Pau), médecine légale et Justice protègent donc une plusieurs personnes dans ce dossier, comme à Pau.
Un jeune "suicidé" par la justice à Pau . . 18 ans après...
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Famille d'Alain Dubois <famille.adubois@......fr>
À
Aujourd’hui à 7h57 PM
Bonjour,
Dans le cadre de l'émission « Crimes en direct : l'appel des familles », NRJ 12 diffusera demain un appel à témoin relatif aux décès mystérieux d'Alain DUBOIS et d'Emmanuel BOUCHET, survenus à Pau en 1998.
Date et heure : Lundi 14 mars de 20h55 à 23h15
Page web de l'émission : http://www.nrj12.fr/votre-chaine-4209/actu-4187/article/336293-crimes-en-direct-l-appel-des-familles-lundi-14-mars-a-20-55.html
Un article de journal : http://www.larepubliquedespyrenees.fr/2016/03/12/suicides-du-belvedere-un-appel-a-temoins-des-familles-17-ans-apres,2009394.php
Après la première diffusion, la chaîne pourrait mettre à disposition cette émission gratuitement durant une semaine sur son site de replay. Consulter l'adresse http://www.nrj12.fr/replay-4203/collectionvideo/.
Cordialement,
La famille Dubois
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PAR SÉBASTIEN LAMARQUE, PUBLIÉ LE 12 MARS 2016 .
Les familles d’Alain Dubois et d’Emmanuel Bouchet, décédés en 1998 à Pau, n’ont jamais cru à la thèse des suicides.
Dix-sept ans après les faits, les familles d’Alain Dubois et d’Emmanuel Bouchet attendent toujours que la lumière soit faite sur ces deux morts mystérieuses survenues au belvédère de Pau. Elles vont même relancer un appel à témoins dans l’émission diffusée ce lundi 14 mars à 20h55 sur NRJ 12, "Crimes en direct, l’appel des familles".
En 1998, Alain Dubois, 20 ans, et Emmanuel Bouchet, 18 ans, sont retrouvés morts au pied du belvédère, boulevard des Pyrénées à Pau. Deux morts à six mois d’intervalle pour lesquelles la police a conclu au suicide. Une thèse "impossible" pour les familles, qui dénoncent depuis les failles de l’enquête de police et les "blocages" de la justice.
"L’enquête n’a pas été objective dès le début, assène Marie-Josée Salles, la mère d’Emmanuel, dont le corps a été retrouvé le 22 mars 1998, dans le canal Heid, au pied du belvédère. Qu’est-ce qui est caché ? Le blocage est là depuis le départ, comme si on voulait protéger quelqu’un ou un groupe de personnes."
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Disparu depuis 12 jours
Elle est persuadée que certains savent la vérité et se taisent depuis 17 ans. "Si je peux espérer quelque chose, c’est que ceux qui détiennent des informations se libèrent de leurs chaînes invisibles. Il faut du courage pour témoigner. Il faut que quelqu’un puisse enfin dire : je sais quelque chose ou j’ai été témoin de quelque chose."
La thèse du suicide "ne tient pas" pour elle. "C’est un jeune qui avait des projets : il mettait de l’argent de côté en travaillant tous les étés pour faire un tour du monde avec un ami." Autre incompréhension : Emmanuel avait disparu depuis le 10 mars au soir. Une disparition signalée par sa famille dès le lendemain, à laquelle la police ne donne pas de suite. "Il est majeur", oppose-t-on à l’inquiétude de la famille.
Troublantes similitudes
Le corps sans vie d’Alain Dubois, compagnon charpentier de 20 ans, est découvert le 11 septembre 1998, sur le sentier du Roy, en contrebas du boulevard des Pyrénées. Menée en trois jours, l’enquête conclut au suicide. "La police et la justice n’ont pas fait leur travail, accuse Marie-Josèphe Dubois, la mère d’Alain. Tout ça a été bâclé. Ils ont décrété que c’était un suicide. Pour moi, ce n’est pas par manque de moyens, par paresse ou par négligence. On a délibérément cherché à étouffer cette affaire."
Pour la famille Dubois aussi, le suicide est impensable. La reconstitution menée, à la demande insistante de la famille, le 14 juin 1999, conforte leur opinion. "Aucun mannequin n’est tombé à l’endroit où on a retrouvé le corps d’Alain. Il est impossible qu’il se soit suicidé de cette façon-là, ça ne tient pas debout." Et cela ne colle pas avec ses vêtements déchirés et couverts de boue.
Et puis il y a ces troublantes similitudes entre les deux décès : une feuille de palmier retrouvée sous les corps. Une chaussure manquante à chaque fois. "Dans le cas d’Alain, plusieurs personnes savent quelque chose, j’en suis persuadée, insiste Marie-Josèphe Dubois. Il y a des gens qui savent et qui n’ont rien dit, parce que la justice ne leur a aussi jamais posé la question. Comment peuvent-ils dormir la conscience tranquille ?" C’est notamment pour réveiller ces consciences que les familles d’Alain Dubois et d’Emmanuel Bouchet participent ce lundi à l’émission "Crimes en direct". Avec l’infime espoir de faire rouvrir ces dossiers.