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Retraité / investigations et recherche de la vérité partout où elle se cache (où on nous la cache)

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Billet de blog 25 février 2015

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ARTE + 7 : Costa Gavras et la Grèce + la troika incontrolée + Junker ..

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http://www.arte.tv/guide/fr/057951-001/entretien-avec-costa-gavras?autoplay=1

Constantin Costa-Gavras est un cinéaste engagé, né à Athènes en 1933 et naturalisé français. Tout au long de sa carrière, il s’est engagé dans des causes politiques pour dénoncer les injustices. En 1969, il triomphe avec son film « Z », histoire vraie de l’assassinat du député grec Lambrakis. Il remportera deux prix à Cannes et deux Oscars. Le film sera considéré par la critique comme le premier grand film politique français. Un an plus tard, il met en scène pour la première fois le récit autobiographique d’Arthur London, ancien vice-ministre des Affaires étrangères tchécoslovaques, qui dénonce le Stalinisme. En 1982, Son film « Missing » remportera la Palme d’Or et l’Oscar de la meilleure adaptation. Récemment, ses films « Eden à l’Ouest » et « Le Capital » reviennent sur les dérives financières et la question de l’émigration. Ses films sans concession sont à la fois des drames historiques, des films politiques et une satire sociale.

http://www.arte.tv/guide/fr/051622-000/puissante-et-incontrolee-la-troika?autoplay=1

Pour obtenir les prêts dont ils ont besoin pour faire face à la crise, les Etats européens doivent se soumettre aux exigences de trois institutions phares qui forment la troïka : le Fonds monétaire international (FMI), la Commission européenne (CE) et la Banque centrale européenne (BCE). Voici une enquête édifiante sur le rôle controversé de cette troïka.Cinq ans déjà que les États en crise de la zone euro vivent les affres du surendettement. Pour obtenir les prêts dont ils ont besoin d’urgence, il leur faut se soumettre aux exigences – les fameux mémorandums – de trois institutions phares qui forment la troïka : le Fonds monétaire international (FMI), la Commission européenne (CE) et la Banque centrale européenne (BCE). Les mesures d’austérité qu'elles ont imposées n’ont jusqu’à ce jour pas eu les effets positifs escomptés, bien au contraire.

Ce sont des hauts fonctionnaires, agissant sans aucun contrôle parmementaire, qui prennent les décisions, que les gouvernements doivent ensuite exécuter. Pour mieux comprendre ce processus, le journaliste économique allemand Harald Schumann (auteur de Quand l'Europe sauve ses banques, qui paye ? diffusé par ARTE en 2013) s’est rendu en Irlande, en Grèce, au Portugal, à Chypre, à Bruxelles et aux États-Unis. Au cours de ce passionnant travail d’investigation, il a interrogé des ministres, des économistes, des avocats, des banquiers, des victimes de la crise, ainsi que le Prix Nobel d'économie 2008, Paul Krugman, qui explique pourquoi cette politique de restriction ne fonctionne pas.

http://www.arte.tv/guide/fr/056741-000/les-cent-jours-de-jean-claude-juncker?autoplay=1

Devenu président de la Commission européenne en novembre dernier, comment le Luxembourgeois Jean-Claude Juncker a-t-il pris ses marques ? Portrait d’un homme puissant et plongée au coeur de la politique de l'UE.

Né en 1954, Jean-Claude Juncker s’engage en politique à 20 ans, au sein du Parti populaire chrétien social (CSV). En 1984, il est élu pour la première fois au Parlement luxembourgeois, puis occupe à compter de 1989 divers postes de ministre. Sa carrière européenne commence vraiment lorsqu'il accède à la présidence de l’Eurogroupe – la réunion mensuelle des ministres des Finances de la zone euro – en 2005. Il y reste jusqu'en 2013. Choisi pour prendre les rênes de la Commission européenne à compter du 1er novembre 2014, Juncker est rattrapé cinq jours plus tard par le scandale financier des Luxleaks, faisant état d'accords fiscaux très avantageux passés avec le fisc luxembourgeois au profit de multinationales. Mais plutôt que de lui coûter sa place, cette affaire incite Juncker à promettre plus de transparence dans ce domaine et à s'engager pour une politique plus "sociale" et "citoyenne". Il semble néanmoins peu enclin à écouter les opposants au projet crucial de Traité de libre-échange transatlantique (TTIP, ou Tafta), actuellement en cours de négociation avec les États-Unis.

Au plus près de l'homme fort de Bruxelles

Les cent premiers jours d’un décideur revêtent toujours une part symbolique notoire. D’où l’intérêt de l’accompagner lors de ses déplacements officiels, de ses entretiens politiques et de ses réunions au sein des institutions européennes, comme au cours de moments plus privés. Ainsi se dessinent peu à peu la vision de l’homme et les moyens qu’il déploie pour la mettre en œuvre.

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