Cantate des jeux avec des Teutons massés sur les quais et des Goths fous de Pernod
Faisons la Ruhr en donnant de bons coups de mains à de belles touristes qui auront perdu leur Parigot à Berlin. N’évitons pas le Rhin – ah, les délices du Rhin ! – mais, c’est une question de culot, donnons une chance à des Teutons licenciés sans nous sentir tenus de mettre nos fonds dans la Prusse.
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Questions de jeux, une fois qu’on a évité les néo nazis (des nazes au Q. I. de passif minable) à l’affût de Goths blancs naissant dans la Prusse : y a-t-il des élections en Prusse qui concernent des types peu toniques ? Des touristes ayant parcouru des ponts de Cologne s’ébranleront-ils devant des Teutons dès qu’ils auront vu que des femmes douteuses qu’obsèdent les mythes boches dégustent des saucisses sans peine ? Des historiens évoqueront-ils la luge de Werther, Bismarck qui se fit greffer un lobe de Bazaine et Thatcher qui déclarait : « J’ai mal à l’Union quand il ment, Kohl ! » s’attirant : « Quel ravageur, votre gros Kohl, hein ! » ? Une histoire de Kohl et de Vérone ou de Kohl et de groupes ? Oubliant les bourdes de leur Sarre, des géographes rappelleront-ils que le Var ne se déverse pas directement dans l’Oder, ou s’ils sont des gars mélomanes associeront-ils Moselle et phare à Sion ? ? Une philosophe se montrera-t-elle ardue en parlant de Kant ? Les nymphes pyromanes qui ne s’ennuient pas devant les feux rêvent-elles de flammes dans la Hesse ? Enfin, les brasseurs épris de riches mousses sont-ils fous de tant faire couler leur bière ? Peu importe du moment qu’on peut se payer des chopes avec des copines...
Bienvenue en Allemagne avec ses frondeurs de Hesse et ses messages de Saxe 41 contrepèteries
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