Cantate des jeux avec élections de Rome sans fâcheux mal cotés, et locaux de Latins
Des Latins parfois d’un cassant et des hommes de robe avec papes et conciles – papes fans de Pie IX et après Nicée, le conclave – palais couverts de Vérone, toges et dures luttes. Sans oublier les Pouilles qui œuvrent souvent avec le Cannet, ni les Lombards que des banquières endettent en leur faisant verser le produit des Pouilles dans plein de cageots.
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C’est le pays d’un burlesque honni n’ayant craint aucune élection anar. Le pays d’un président Craxi parlant de ses quêtes et rêvant d’Émilie honnête. Pays de Fiat chères. Pays de toubibs exigeant des salaires pour l’hôpital et des soignantes qui ressentent trop de malaises dans la Botte. On peut y entendre un édile conseiller à une collègue : « N’accepte aucun facho dans Tarente, ni Pise pénible ni chute de Parme ! » Pays aussi où les visiteuses découvrent un superbe vieux Pavie (et pas des rats de Pavie) et où des grimpeurs avides de pentes qui ne les font pas chuter savourent les astuces de belles vénales se payant des guides faute de trocs dans ce pays de la douceur des Dolomites (permutation circulaire de consonnes).
Bienvenue en Italie, avec cours de latin et Tibre chantant 31 contrepèteries
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