Ce billet est le quatrième du genre.
C'est le domaine des jeux qui font parfois tomber dans le panneau s'il arrive qu'on sèche sur un piège ou des maths impossibles.
C'est le paradis des verbicrucistes avides de lignes affichées et de colonnes non réservées aux gauchistes.
C'est l'aile dorade eau des fous de jeux de mots.
C'est le domaine des amateurs de charades avec ou sans tiroirs.
C'est le terrain des pixéliseurs de contrepèteries, terme abscons pour désigner la Photopèterie, discipline hautement artistico-sémantique : accomoder des contrepèteries à la sauce Nadar, comme dans l'exemple que l'on verra dès le premier commentaire.
Et c'est la terra incognita des jeux non encore inventés.
Merci aux inlassables fournisseuses-découvreuses et fournisseurs-découvreurs d'énigmes qui ont alimenté avec flamme, fougue et parfois malice le tome III de cette saga ludique, au nombre desquels on compte Olala, MissFaff, Germandrée dont on espère le retour après une petite éclipse, M Tessier, JYD13, Chapo, Dondiego, Nico94, Eugénio Populin, Tinus, l'inventeur de la photopèterie, Valeriane qu'on espère plus présente et Jean Noubly...
Là-dessus, je souhaite la plus cordiale bienvenue aux nouvelles arrivantes et nouveaux arrivants.
Que l'on voie passer plein de mots, mais nul mot avili, et que nos verbes soient en joie !