Cantate des jeux, pile en Eire, non sans dîner pendant des concerts de harpe
On y découvre de grands hommes avec parfois de drôles de binettes... Quelqu’illustre Beckett, de grands cracks, un admirable Shaw qui aurait beaucoup péché mais aussi des troupeaux pouvant être de beaux achats...
Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
Les fans de ballons ovales et de jeux de tête attirant les populations peuvent voir l’équipe d’Irlande et des packs qui attirent de bonnes brutes. Avec, outre des piles de drops, des mêlées massives, des avants qu’on a soumis, des dures luttes sous la touche... Et aussi des arrières défectueux avec demis bien venus. On se demande pourquoi quand certains rugbymen bossent, c’est parfois à treize même dans des packs éclatants où l’on laisse des drops. Côté notes qui provoquent l’émoi, on relève des types d’harpistes qui entraînent des danses à l’allemande en animant des gigues que l’on voit futées de filles brillantes bourrées de trac, trac infime ou trac horrible. Et les historiens narrent comment des révoltés irlandais balançaient leurs pierres dans des forts d’Érin et raffolaient curieusement des fêtes pugnaces.
Venez en Irlande écouter ses rebelles très « Saint Patrick » quand ils tiquent 29 contrepèteries
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