SELEKAS

SELEKADEUX MILLE ÉLÉMENTS DE L’EX- SELEKA DU CAMP R.D.T.O. VEULENT DÉPOSER LES ARMES« Ce n’est pas parce que les choses sont difficiles que nous n’osons pas. C’est par ce que nous n’osons pas qu’elles sont difficiles… » (SÉNÈQUE)Bonne nouvelle ! Les Centrafricains doivent saisir au plus vite, la main tendue par les fils égarés de la Nation Bantoue. Leurs frères. Il faut dés maintenant dresser la Table Nationale de la Réconciliation et du Pardon. Il faut revisiter les préceptes de Boganda. Unité Dignité Travail. ZO KWE ZO. Les mettre sur la table. Tels des icônes tutélaires qui veilleront sur les dialogues. L’organisation de cette table ronde nationale, doit échoir aux Centrafricains d’abord. Toute fois, l’U.A. et L’O.N.U. peuvent y dépêcher des observateurs. La maitrise des débats doit être inter centrafricain. On peut très bien envisager la nomination d’un Ministre ou un Secrétaire d’Etat chargé de la Réconciliation. Qui pilotera le conseil des sages. Composé d’anciens, de jeunes, de femmes, de paysans, de commerçants des représentants de la société civile etc. Toutes les couches de la société centrafricaine. Musulmans Catholiques, Protestants Animistes doivent y être associé. La paix ne viendra qu’à ce prix. Le premier axiome, c’est de rassurer les Centrafricains musulmans. Dire aux ANTIBALAKAS que le temps de la réconciliation est venu. Qu’ils traquent eux même ceux qui se déguisent en ANTIBALAKAS pour salir leur patriotisme. Qu’ils tendent la main à leurs frères musulmans. Qu’ils aillent les chercher là ou ils ont trouvé refuge. Pour les ramener à la maison. La maison commune : La République Centrafricaine.DÉSARMEMENT DE LA SELEKA Si les, SELEKA (2000) du camp RDTO veulent déposer les armes et rejoindre la table des négociations. Ils doivent le faire sans conditions et se repentir. Cette repentance n’est point une humiliation. C’est un acte de courage patriotique. C’est un pardon adressé à son peuple meurtri. Qu’on a trahi. A son pays que l’on a jeté dans un chaos interminable. Centrafricains de la SELEKA : Votre berceau des Bantous n’est plus que ruines et désolations. Vous avez été manipulé par des étranges prédateurs. Voraces de matières premières du sous/sol de votre pays. Si ces étrangers vous, ont entrainé dans ces aventures sanglantes, ce n’est point pour votre bien ni ce lui, de votre pas. Les politicards professionnels centrafricains. Adeptes des pronunciamientos militaires qui vous ont berné, enjôlé. Doivent le moment venu, rendre des comptes devant les tribunaux centrafricains et internationaux. SELEKAS. Le sang de votre peuple a beaucoup, coulé et coule encore. C’est réconfortant que vous rejoigniez la Table Nationale de la Réconciliation.ABALKAR SABON : LE FACTIEUX SÉPARATISTEOn tremble à l’idée que l’ex Chef rebelle Djotodia a pu faire confiance à cet aventurier. En le nommant son conseillé Spécial. Ancien vendeur de ‘chai’ thé sur le marché du Km5. Il a une Nationalité indéfinie. C’est un mercenaire. Il est légitime de se demander aussi. Comment la France force tutélaire en Centrafrique a laissé s’installer cette grossière mascarade. La preuve est faite que Djotodia a fait entrer, dans a bergerie centrafricaine, un loup avec un coran à la main. Depuis l’intrusion des SELEKAS en Centrafrique. SABON a toujours évoqué la séparation du nord d’avec le sud centrafricain. Il récidive avec arrogance et défie la Nation Bantoue. Faut-il ignorer superbement cet insignifiant personnage. Dans son, trou du nord, ou faut il en parler. C’est un fracas de tonnerre d’indignation et de stigmatisation. Qui devrait s’élever pour clouer ce rufian au pilori. Les étrangers qui lorgnent les richesses minières centrafricaines, n’abdiqueront jamais. Dans leur entreprise de déstabilisation de la République Centrafricaine. Des rubéfiants cupides, comme SABON sont des proies faciles. Pour retenter une nouvelle intrusion sanglante en Centrafrique. SABON fanfaronne en disant qu’il a créer l’Organisation de la Résistance Musulmane Centrafricaine (O.R.M.C.). il dit encore disposé de 4 500 hommes. Que rejoindront bientôt les Musulmans de 18, à 60 ans ( Info, Jeune Afrique) Ce Monsieur rêve peut-être D’un Emirat nord Centrafricain. Les autorités centrafricaines doivent réagir vigoureusement. Donner l’ordre à la MISCA et aux SANGARIS d’aller le capturer.« Même si le coq ne chante pas à l’aube, le soleil se lèvera quand même » (Dicton africain)A. De Kitiki Akouissonne. 13/04 2014