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LE CHAOS CENTRAFRICAIN S’AFFICHE SUR LES BOULEVARDS PARISIENS CONTESTABLE Ce sont des photos journalismes de bonne qualité. Mais est ce vraiment leur place boulevard Beaumarchais ? Ce ne sont pas les photos qui posent problème. Mais les lectures qu’en feront les passants. Ces lectures seront sujet à plusieurs interprétations : Positives et négatives. C’est comme si on affichait sur les murs de Paris les photos, du génocide Rwandais. Des atrocités de la barbarie nazi. Qu’on n’évoque surtout pas, la liberté d’expression. Elle doit aussi se référer à la bienséance et au respect des Centrafricains. Qui paient tous les jours un lourd tribut de sang. Au fait A-T-on demandé leurs avis aux Centrafricains. Surtout ce qu’ils en pensent. Les autorités Centrafricaines sont elles informées de cette démarche du photojournaliste ? Pour beaucoup d’Occidentaux, certains pays d’Afrique comme le Centrafrique demeurent prisonniers de leurs vieux démons : Barbarie. Sauvagerie. Guerres ethniques et génocides. L’Occident a toujours tendance, à oublier ses propres démons : Hitler. Staline. Sarajevo. Ukraine. Conquêtes coloniales violentes. Armes sophistiquées de destructions massives.etc. Pour accabler les, peuples tiers de barbarie incurable. Cette exhibition de la détresse violente d’un peuple, n‘a pas sa place sur les murs des grands boulevards parisiens. Mais dans les journaux. La ou s’exerce le journalisme. Il ne faut pas jouer aux C LOSERS et autres Tabloïds racoleurs. Avec des reportages dramatiques. Le Professionnalisme du photojournaliste Pierre Tordjman n’est nullement contesté. Mais le choix du placardage de photos géantes au cœur de Paris, n’est pas de bon aloi. On peut informer les Occidentaux autrement. Surtout que beaucoup d’Européens ont des idées préconçues et erronées sur l’Afrique. A ; De Kitiki 14/04/2014
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