JOUNALISTES ?EN GARDE A VUE A BANGUI R.C..A.

JOURNALISTES EN GARDE A VUE A BANGUI BOOMERANG La démocratie a des règles. Que tous les corps de métiers doivent respecter. Surtout les journalistes, ces Chiens de garde de la Démocratie. Ces historiens du présent. Le journaliste doivent être des médiate informateur citoyen exemplaire. Au service de la démocratie. Il doit exercer librement son métier sans être soumis, menacé par des pressions et des intimidations. Quand un journaliste fait un écart avec la Déontologie. Se livre à des attaques ad hominem, injurieuses comme ceux écrites proférée à l’encontre de la Présidente de la Transition sont inacceptables. Ceci vaut aussi pour les quidams les sans voix.QUELQUES RAPPELS Le journaliste professionnel est celui qui a pour occupation principale, régulière et rétribuée. Dans une ou plusieurs publications quotidiennes, ou périodiques ou dans une ou plusieurs agences de presse, ou dans une ou plusieurs entreprises de communication audiovisuelle et qui en tire le principal de ses ressources. En aucun cas, un journaliste professionnel ne peut accepter pour la rédaction de ses articles d’autres salaires ou avantages que lui assure l’entreprise dePresse à la quelle il collabore.CHARTRE D’ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE Le journaliste est responsable de toutes ses productions professionnelles, même anonymes.1-Respect de la dignité des personne, et la présomption d’innocence2- Tient l’esprit critique, la véracité, l’exactitude, l’équité, l’impartialité, pour les piliers de l’action journalistique.PROTECTION DES JOURNALISTESDans l’hypothèse, ou le journaliste serait poursuivi pour injures ou diffamation consécutivement à la publication d’une de ses productions journalistiques, l’entreprise l’assistera dans la défense de ses intérêts. Dans l’affaire qui oppose nos confrères de la Presse Centrafricaine. A La Présidente de la Transition, un dérapage a été manifestement commis. La garde à vue est excessive. Il fallait saisir la commission d’étique et de régulation du travail des journalistes. Qui après enquête interne, prend les dispositions adéquates. Madame La Présidente doit être magnanime. Garder le silence et sortir ce confrère de la, garde à vue. Ce qui grandira encore son autorité et son sang froid. Si des conseillers ont initié cette garde avue, c’est une faute politique. L’effet escompté après cette garde à vue est calamiteux. De coupable, le confrère est devenu victime. C’est un Boomerang.A.DE Kitiki Akouissonne 19/04/204