joseph Akouissonne

Abonné·e de Mediapart

298 Billets

0 Édition

Billet de blog 21 octobre 2016

joseph Akouissonne

Abonné·e de Mediapart

VIOLS ET PEDOPHOLIES EN CENTRAFRIQUE PAR DES CASQUES BLEUS ET LES SANGARIS

Des ignominieuses manœuvres sont en cours, pour disculper les casques bleus et les Sangaris auteurs de violences sexuelles en Centrafrique. Le témoignages des enfants violentés sont mis en cause. C'est insupportable Est-ce parce-que ce sont des enfants africains?

joseph Akouissonne

Abonné·e de Mediapart

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

                                                                                     CENTRAFRIQUE

                                       ABUS SEXUELLES  PAR DES CASQUES BLEUS ET DES ELEMENTS DES FORCES SANGARIS

                                                                                         CRIMES CONTRE L’HUMANITE

                                                                    IL FAUT SAISIR LA COUR PENALE INTERNATIONALE

DEGOUT ET COLERE 

C’était à craindre. C’était pratiquement prévisible. Comment réagir devant tant de mépris. C’est deux poids deux mesures. Le Centrafrique en particulier et l’Afrique noire en générale doivent s’indigner devant l’insupportable. Une clameur de dégout doit parcourir les savanes de Centrafrique et dénoncer ces crimes sur des prés pubères que l’on tente cyniquement d’étouffer.  Le quotidien français le MONDE daté du 17/10/2016, ayant eu accès à un rapport confidentiel, du groupe de la déontologie et de la discipline de l’ONU. Rapporte les interpretations honteux, tentant de disculper les soldats violeurs et  pédophiles. Des soldats en mission, commettant des abus sexuels doivent être traduit en cour martiale.  Ce rapport, n’hésite pas à se vautrer dans des abjects mensonges. Pour tenter de mettre en doute les témoignages forts et concordants des jeunes violentés. Le rapport ose suggérer que : « … les enquêtes étaient pauvres en détails… que 50% des cas ne sont pas étayés par des preuves … ». L’ONUaccuse encore  les innocentes victimes de mentir pour extorquer de l’argent à la soldatesque internationale. Souvenez- vous des témoignages accablant des violentés à l’époque qui, a coups de moult détails décrivaient, les anatomies des violeurs.  Souvenez-vous encore de la Maison de la presse et du journaliste à Bangui, transformée en bordel militaire de campagne (BMC) la nuit tombée. Après avoir soudoyé le gardien qui fermait les yeux, plusieurs soldats de la MINUSCA se livraient à des dérives sexuelles, afin de satisfaire leur lubricité sur des adolescentes et des adolescents. Face à ces manœuvres, ces mensonges d’étouffement. Face au peu de poids que pèse aux yeux de l’Occident l’enfant noire. Il ne faut plus que l’Afrique se taise. Comme le fait malheureusement l’Union Africaine. Il ne faut pas que les autorités centrafricaines, par crainte ou par lâcheté, ne réclament pas justice à la France et à l’ONU.  Les victimes et leurs familles, attendent avec une colère rentrée que justice passe. D’une manière implacable.

TOUADERA  ET  SON  GOUVERNEMENT  DOIVENT  REAGIR  AVEC   FERMETE

Cette manœuvre grossière d’étouffement, doit faire sortir les autorités centrafricaines de leur torpeur. Ils doivent agir en protecteurs de la population. Ils doivent, soit porter ces affaires de crimes car, les abus sexuels, sur un enfant et les viols sont des crimes. Devant la cour Pénal Internationale (CPI) soit devant les juridictions centrafricaines.  Ces douloureuses affaires, sont aussi importantes que la recherche de la paix(SIRIRI) et de la réconciliation. L’honneur des Centrafricains souillé et bafoué, doivent être  rétablies au plus vite devant les tribunaux. Le grand espoir soulevé par l’élection de Faustin Archange Touadera risque de pâtir, d’une réaction molle des autorités centrafricaines. Ne pas réagir vigoureusement devant l’inacceptable, s’apparentera à une compromission.

 Comment aurait-on réagi, s'ils s'agissait  d'enfants européens?

                                                                                                            A. DE KITIKI  (21/10/2016)

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.