Invitée au Gavroche de Mûrs de cette année pour son excellent ouvrage La tête dans les choux (Thierry Magnier, 2013) que j'ai d'ailleurs chroniqué ici, Gaïa Guasti a choisi cette France que j'aimais il y a peu encore. Celle d'une époque où l'accueil d'une étrangère relevait du possible... Celle qui défendait une identité nationale construite sur une conception politique.
Invitée au Gavroche de Mûrs de cette année pour son excellent ouvrage La tête dans les choux (Thierry Magnier, 2013) que j'ai d'ailleurs chroniqué ici, Gaïa Guasti a choisi cette France que j'aimais il y a peu encore. Celle d'une époque où l'accueil d'une étrangère relevait du possible... Celle qui défendait une identité nationale construite sur une conception politique. Non sur le droit du sang. Mais ma colère s'est déjà exprimée là. Revenons donc à Gaïa Guasti. Elle arrive en France à l'âge de 18 ans sans parler plus d'une dizaine de mots de notre langue. Plus tard, elle écrira des romans qui dépassent l'étiquette Jeunesse tant sa plume est fine et son regard, sociologique. Comme quoi une étrangère peu devenir [lire la suite].
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