On se demande si ceux qui continuent à défendre ce mouvement hyper-violent, qui ne chante que La Marseillaise, qui n'agite que des drapeaux tricolores, qui injurie et agresse, sans trêve ni répit, les journalistes, qui multiplie quenelles et slogans antisémites et homophobes, prendront un jour conscience de la réalité.
Quelques documents:
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A Montpellier:
A Besançon:
A Paris, sur les Champs Elysées, Les hordes de gilets jaunes, vociférant, brandissant des drapeaux tricolores, menaçant une jeune femme qui essaie de faire son métier:
"Juifs ! Rendez-nous notre fric ! Sionistes ! On regarde RT !" :
"Les médias, tafioles !"
Les agressions des jaunes sont fréquemment dirigées contre des femmes.
Qu'elles travaillent pour M 6:
Pour France 3:
Ou pour Canal + . Slogan des jaunes : "Canal plus, c'est trop cher ! " (sic !) et le célèbre "médias, corrompus ! " caractéristique de l'extrême droite.
A Toulouse:
Pourquoi n'allez-vous pas sur les ronds-points, discuter avec les jaunes, me demande-t-on parfois.
Discuter avec ces brutes épaisses ?
A Rouen:
Et en Belgique:
"RTBF, on vous baise ! " "RTBF de merde, cassez-vous d'ici !"
Et dans le Nord:
Il suffit d'aller lire les commentaires sous ces vidéos pour constater que les jaunes approuvent massivement ces violences, avec des textes qui ne laissent aucun doute sur leur orientation politique:
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En dépit de tous ces documents, ceux qui ne veulent rien voir et rien entendre continueront de nier l'évidence...
Ils ne pourront du moins pas dire qu'ils ne savaient pas.
A noter, tout de même, face à ce déchaînement de haine et de violence, qu'on ne peut qualifier autrement que de fasciste, une réaction courageuse:
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Silence complet, par contre, du chef de la FI, qui appelait, on s'en souvient, il n'y a pas si longtemps, à "pourrir" les journalistes, aimablement qualifiés de "menteurs", d' "abrutis", de "sales cons", de "vermine"...
Une violence verbale qui préparait la violence physique des jaunes.