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(Capture d'écran à partir d'instagram)

Je reprends ici un commentaire que j'ai publié ce matin:
Le monde se divise en deux catégories.
Ceux qui, n'étant ni épidémiologistes ni virologues, ni même médecins, n'ayant pas souffert personnellement du COVID, braillent un peu partout sur internet que la pandémie est finie, qu'elle n'a jamais existé, qu'il ne s'agissait que d'une grippette, qu'elle ne serait pas plus meurtrière que les accidents de trottinnette.
Les plus énervés, en Allemagne ou aux Etats-Unis, manifestent, contre la "dictature sanitaire", pour "défendre leurs libertés", avec...
Des suprémacistes blancs et des néo-nazis.
Cherchez l'erreur.
Et puis, il y a la seconde catégorie: ceux qui ont été frappés par le COVID 19, qui en souffrent toujours, qui ont perdu des membres de leur famille, ou des proches, les médecins et infirmières qui ont soigné, sur le terrain, des malades.
Ceux-là, tous, sont horrifiés par le discours dément, hors-sol, halluciné, des négationnistes anti-masques.