Il est donc écrit que le laquais du MEDEF, qui ne cesse depuis plus de trois ans de rouler ses électeurs de 2012 dans la farine, et de leur taper sur le crâne, est incapable de prendre une décision claire, lisible, humaine.
Toujours, il lui faut louvoyer.
Jamais, il ne s'avèrera capable du moindre acte de franchise, d'honnêteté, de rectitude.
Voilà donc Jacqueline Sauvage à demi graciée par cet hypocrite, par ce fourbe, menteur et retors, parfaitement indifférent à la souffrance humaine.
HONTEUX !
A contrario, voici le compte-rendu d'audience d'un procès mené avec dignité, dans une affaite tout à fait comparable.
http://prdchroniques.blog.lemonde.fr/2016/02/06/bernadette-dimet-et-lombre-de-jacqueline-sauvage/
Là non plus, durant des années, les victimes n'avaient pas porté plainte.
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