oblige les syndicats à appeler de nouveau à se mobiliser dès le 6 février prochain : cette nouvelle journée peut être le coup de grâce pour AOC alors qu'on apprend ce jour là démission du recteur de Paris.
Ce qui se passe ne peut être séparé du coup de sang des agriculteurs, dont le salon annuel est prévu sur Paris dès la fin du mois, tout comme de la nouvelle manifestation demain des travailleurs sans-papiers contre la loi Immigration, qui appellent eux à organiser une journée de grève le mois prochain pour rappeler qu'iels sont indispensables au fonctionnement de la société.
A quand le tour des salarié-es parisiens du commerce sommés de travailler chaque dimanche du 15 juin au 30 septembre prochains au nom des JO, qui vont pourtant du 26 juillet au 11 août ? Cet été, voulons- nous du pain, avant tout pour les multinationales, et des jeux, en guise d'anesthésiants, ou bien des manifestations et des grèves comme déjà appelées par la CGT à la RATP ? La question est posée.