Au Royaume Uni, la fréquence d'administration des vaccins dénommés maintenant booster (ça fait moins peur), viennent d'être ramenée à 3 mois, ce qui fait 4 injections de vaccin par an contre le covid ! Peut-on encore parler de vaccin ? D'ailleurs on a changé le nom pour que cela paraisse moins ridicule !
Résumé de la situation :
1° On a dit qu'il fallait vacciner parce qu'il n'y avait aucune autre solution, tout en interdisant les autres solutions et sans intervenir sur les structures de soin.
2° On a massivement obligé les gens à se vacciner sous divers prétextes en stigmatisant les non-vaccinés présentés comme les pires des gens (antisémites, extrémistes, complotistes, anti-science, anti-vax etc....)
3° Les vaccinés sont à présent largement plus nombreux dans la population. Pourtant les hôpitaux voient arriver de plus en plus de vaccinés malades ! Je croyais que se vacciner servait à ne pas attraper une forme grave ? Alors pourquoi sont-ils à l'hôpital ?
Conclusion : il faut continuer avec ce qui ne fonctionne pas : vacciner davantage !
D'abord deux doses par an (tous les 6 mois) et maintenant 4 doses au Royaume-Uni, et pourquoi pas bientôt en France ?
Tout ceci est énorme, mais dans le processus de manipulation de masse, plus c'est gros, mieux ça passe ! C'est un peu comme se plaindre du coiffeur qui a coupé trop court en lui demander de recouper encore !
Devant l'absurdité et l'arbitraire présentés comme des faits, le cerveau en quête de réponses et de sécurité ne réfléchit plus, d'autant que penser ou agir de façon indépendante est stigmatisé et puni.
C'est à cela que sert le pass sanitaire : séparer le bon grain (les moutons), de l'ivraie (ceux qui pensent indépendamment et doutent), les bons et les méchants citoyens !
Cette infantilisation des populations prêterait à sourire si elle ne cachait pas une dérive liberticide, fascisante et totalitaire sous le couvert du meilleur de mondes !
PS : dans un monde normal, on soigne les malades, on ne traque pas les personnes en bonne santé. Dans un monde qui prône la raison, on ne refait pas sans cesse les mêmes erreurs en espérant que par magie, le résultat change.
Et si la solution était de revenir au bon sens ?
PS bis : on nage en telle absurdité que si certains sont stigmatisés comme des pestiférés, d'autres peuvent aller travailler, même en étant infectés. Qui peut prétendre que cette crise est sanitaire ?