Image de la France aujourd’hui, Macron seul, entouré de forces de l’ordre, qui défile sur les Champs-Elysées, dans une avenue vidée de ses habitants. Il a dissous la population dans les images officielles de cette représentation de la victoire de 1945 qui est celle de tout un peuple !
Cette image le montre plus que jamais en petit autocrate, en homme qui ne supporte pas que l’on ne soit pas du même avis que lui et qui prétend par sa seule personne incarner la France, lui qui la hait, tout comme il hait les français. Même cinéma à Lyon où le quartier a été bouclé pour que sa majesté n’ait pas les oreilles importunées par les casserolades, les quolibets et les appels à sa démission.
Tandis que le préfet de police Nunez disserte sur BFM pendant une demi-heure pour expliquer pourquoi il n’a pas pu interdire une manifestation de fachos cagoulés, on comprend qu’il existe bien deux poids et deux mesures pour ce gouvernement : les casserolades pacifiques ont été interdites, mais la manifestation néo-nazie non !
C’est un révélateur de ce qu’est la nature profonde du macronisme : une falsification permanente de l’histoire, un retour aux idéaux de Pétain sous prétexte de progrès et une chasse aux opposants qui n’exclut pas l’ouverture aux néo nazis. Macron est bien un dictateur d’extrême droite.
Autre crachat sur l’histoire : le refus d’inviter aux cérémonies les syndicats pourtant fondateurs du CNR et issus directement du mouvement de résistance française.
Macron-Pétain qui vient rendre hommage à Jean Moulin, c’est Macron qui pisse sur l’histoire, comme il pisse sur son peuple.
Aujourd’hui nous sommes tous résistants, par les casseroles ou autrement, car face à la tyrannie, à la violence d’Etat et à la propagande/censure, Macron-Pétain ne nous laisse plus le choix. Il s’assoit sur l’appareil démocratique, sur la Constitution, et sur la loi. Il nous reste la résistance.
Ce 8 mai, Jean Moulin nous rappelle que nous avons le devoir de résister à la tyrannie, à la corruption, aux mensonges, à la destruction programmée de notre pays, à la destruction de tout l’espoir que portait le CNR pour le peuple français.
Face à ce camouflet de l’Histoire, Jean Moulin nous montre l’exemple. Ami entends-tu le bruit des casserolades ? Ami entends-tu les cris et les bruits d’un pays qu’on enchaîne ? A ton tour de t’engager.
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Voici que nait une idée :
-je suis la préparation à la mise en place de contres pouvoirs citoyen pour un système démocratique direct.
-Je n'ai pas de couleur, de drapeau, de bord politique de religion ou de frontières.
-Je ne suis personne et n'ai pas de chef.
-J'agis partout, tout le temps, sans relâche pour mettre fin a la corruption systémique et pour un avenir meilleur.
Je suis une idée, j'inscris mon nom partout où je tente de stopper la marche violente et mortelle d'un système corrompu, je ne montre ni visage ni identité, je suis discret et ne fait confiance à personne, j'existe tant que nécessaire et reste en alerte une fois mes objectifs atteints, je veille à ce que leurs violences ne puissent jamais renaître, je suis #UNIR et je suis né parce qu'ils n'ont plus de limites .
Et si je venais à mourir, alors il ne resterait rien du monde qui aurait pu nous laisser vivre dignement !
Vivre debout, ne plus survivre à genoux !