Les centres de vaccination sont pris d'assaut, mais voilà les doses, les créneaux horaires, rien ne pourra suivre !
C'est à ce moment-là les gens se rendent compte que la stratégie du bâton, de la peur ne repose nullement sur la santé mais sur une décision unilatérale et violente en vue de museler les opposants inévitables aux lois anti sociales en attente à la rentrée : loi sur le chômage et loi sur la retraite !
Macron nous enfume une fois de plus, ment comme d'habitude et se renie en Judas vendu aux lobbys de l'argent (mais c'est pour beaucoup plus que 30 deniers ! )
S'il avait voulu notre bonne santé il aurait créé des lits et non continué de les fermer, il aurait permis les soins et non interdit l'ivermectine et l'hydroxychloroquine, il aurait pu isoler le pays à ses frontières et isoler les malades. Or jusqu'à présent, un malade qui franchissait la frontière écopait d'une amende de 135 € mais pouvait circuler librement !
Le délire est total, tant dans la gestion calamiteuse de la maladie que dans le revirement autoritaire qui serait comique s'il n'était pas si dramatique. Notre dictateur est en roue libre !
Une fois la stupeur et la peur envolées, il reste la colère ! Refusons massivement le pass de la honte, refusons de servir d'auxiliaire de police pour traquer, dénoncer, verbaliser nos concitoyens. Il faut cesser de collaborer à notre impuissance !
Macron se croit fort en agitant menaces et sanctions. La classe politique se décrédibilise avec des réponses molles de collabos. La start up nation se résume au monde moisi d'hier avec toute les turpitudes des compromissions idéologiques les plus glauques.
Tandis que Macron crie aux complotistes, à l'extrême-droite et que la gauche bien-pensante beugle aux rassemblements de négationnistes, et d'antisémites, les primo manifestants apolitiques découvrent la réalité de la vie politique française : le grand mensonge organisé et découvrirons bientôt le tabassage en règle !
La déliquescence de ce pouvoir ne fait plus aucun doute. La virulence des propos traduit la peur et l'impossibilité de la mise en œuvre, la folie d'un tyran dépassé par son hubris et dominé par son dogmatisme.
Il reste la désobéissance civile, comme retour à la raison et au droit : liberté, égalité, fraternité !