Les très riches sont à la fête et les autres à la peine, comme en 1789.
il n'y a plus qu'un mot : RESISTANCE à cette guerre menée par l'oligarchie décomplexée contre l'ensemble de la population.
« Résister, c’est désobéir et saboter. » disait Lucie Aubrac.
Désormais, c'est résister ou mourir.
Grâce au chantage de l'extrême droite, Macron se fait réélire, une fois encore, même si son projet entraine l'adhésion de moins de 20 % de la population. Cela montre que l'exercice démocratique est non seulement biaisé, mais vain !
L'avenir qui se dessine c'est la fin des protections sociales, la retraite à 65 ( c'est à dire à 70 ans avec les 5 années de décote), la privatisation des services publics, la surveillance accrue des réseaux sociaux et des opposants politiques traités en ennemis. C'est aussi le travail obligatoire pour le RSA qui représente une concurrence directe aux tout petits salaires toujours en baisse, un gouvernement autocratique en état d'urgence permanent, une corruption généralisée avec l’enrichissement des grands groupes privés grâce au siphonnage de l'argent public et l'instrumentalisation de la police et de la justice pour faire taire les opposants.
Macron c'est la dictature de l'argent, le mépris permanent, la violence décomplexée et la corruption généralisée.
Triste jour que ce 24 avril qui voit la réélection du président le plus haï de la Ve République élu par défaut, une fois de plus grâce aux institutions vérolées.