On se croirait dans un tournoi de gladiateurs ; d’un côté, un président élu démocratiquement après plus de dix années de gestion de droite ; de l’autre, un mélange hétéroclite qui surfe sur un mécontentement en dehors de la réalité ; non, la majorité des français ne souhaitent ni un ersatz de collectivisme, ni un repli sur soi-même.
Et oui ; le gouvernement bosse, avec ses moyens ; ceux que lui a laissé nos nantis de droite.
Mais voilà ; la blonde, débordante de lieux communs, pourchassée par le maire de Meaux galopant derrière elle, courent à la chasse aux voix.
Et c’est le bordel !
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