(Communiqué)
Lors de la réunion du cabinet de sécurité [du 7 août] convoqué par le premier ministre israélien, le général Eyal Zamir, chef d’état-major, a redit son opposition à l’occupation totale de Gaza. 75 % de l’enclave palestinienne – ou ce qu’il en reste – se trouvent pourtant déjà sous contrôle de l’armée de Tel-Aviv.
Mais le premier ministre israélien entend aller jusqu’au bout de son entreprise pour en finir avec le droit à l’autodétermination du peuple palestinien.
L’armée israélienne d’occupation, bras armé du génocide en cours dans la bande de Gaza, police de la colonisation dans l’ensemble des territoires palestiniens – Cisjordanie et Jérusalem-Est comprises –, se présente maintenant comme le rempart seul à même de limiter les plans de Netanyahou. Faut-il que ce dernier soit allé loin en détruisant l’image d’Israël par ses plans génocidaires!
Les protestations des chancelleries se multiplient, des menaces sont formulées. Mais aujourd'hui des sanctions sont indispensables.
Par notre présence au rassemblement de mercredi 13 août, soutenons les dockers et les associations qui refusent de faire partir les bâtiments chargés d'armements pour Israël, ainsi que les salariés, au sein des entreprises d’armement, pour qui, la coopération avec Israël pose la question d’une éventuelle complicité de génocide. La CGT, en pointe sur ce combat, multiplie les initiatives. La prise de conscience s’étend.
OUI, MANIFESTONS,
CONTINUONS À ÉLARGIR CELLES ET CEUX QUI DÉFENDENT LE DOIT INTERNATIONAL ET LA JUSTICE

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