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"Nuit Debout ou Assis sur la cuvette des chiottes, c'est pareil! "
C'est vrai, le Depar s'y connaît en matière de chiottes.
Qui se souvient de Depardieu entrain d'uriner dans une boiteille dans la cabine d'un vol Paris-Dublin en Août 2011, sans attendre le décollage pour utiliser les toilettes ?
Mais revenant au sujet de l'expression citoyenne voulue et pratiquée par le mouvement "Nui Debout".
Là aussi l'esprit citoyen français est fortement exprimé par l'acteur qui devrait rester acteur plutôt que de se hasarder à prendre position sur un mouvement qui justement est aux antipodes de ce qu'est la citoyenneté pour le GéGé.
Un mouvement qui veut enfanter l'île de la citoyenneté quand Gérard Depardieu devenu citoyen russe, accueilli «en héros» à Saransk, capitale de la Mordovie, notamment connue pour abriter le centre pénitentiaire d'une des deux Pussy Riot.
Une impression que l'héroïsme citoyen du gars Gérard qui s'aveugle quand il s'agit de ces jeunes embastillées à la Russocoff!
Et puis, l'intarissable acteur en exentricités, de continuer sa pièce bourré-méprisante monocorde sur l'anecdotique #NuitDebout.
Ce qui est réellement anecdotique avec Depardieu c'est à la fois son "admiration" déclarée de Vladimir Poutine etvson exil fiscal revendiqué, son mépris pour "Nuit Debout", pour qui il pense le plus grand bien et déclarer :
"Il y a tellement de merde en France que c'est très difficile d'y faire sa place, puisque l'on vous prend tout. On prend tout, y compris aux plus pauvres, surtout aux plus pauvres."
En gros, le #OnVautMieuxQueÇa de Nuit Debout qui dénonce ce que dénonce Depardieu, en y ajoutant la dénonciation paradis fiscaux titille la fibre patriote et citoyenne de l'acteur.
Alors il se sert tel un Obélix tombé dans la marmite magique du mépris!
Et 1968, que faisait Gérard Depardieu ?
Après avoir vu un concert de la chanteuse égyptienne Oum Kalthoum en 1967, Gérard Depardieu décide de se convertir à l'islam. Très ému par sa voix « venue d'ailleurs », il fut durant deux ans, car cela ne dura pas, un fidèle assidu de la Grande Mosquée de Paris.
D'ailleurs, Il est dispensé du service militaire par un psychiatre qui diagnostique une « hyperémotivité pathologique », depuis l'enfance.
Alors faire la leçon à celles et ceux qui font un parallèle avec 1968 ? Juste malvenu !
Après avoir vu un concert de la chanteuse égyptienne Oum Kalthoum en 1967, Gérard Depardieu décide de se convertir à l'islam. Très ému par sa voix « venue d'ailleurs », il fut durant deux ans, car cela ne dura pas, un fidèle assidu de la Grande Mosquée de Paris (source Wikipedia).
Mais le relou acteur n'est pas à ça près !
Interrogé à l'occasion de la validation du permis de construire de sa villa à Trouville-sur-Mer, l'acteur s'est lancé dans une diatribe virulente contre la classe politique. Hollande, les pommiers de Normandie, les OGM et Obama... Depardieu tire dans ce dont il s'inspire souvent !
La justice du pays qu'il quitte avec fracas, la France, l'autorise à construire sa villa à Trouville contre l'avis des défenseurs de l'environnement. Ça lui plaît pas!
Il râle contre la justice française "qui a tué son fils", et contre ceux qui "ont enlevé les pommiers de Normandie".
Sur Daniel Cohn Bendit il essuie sa colère. "Je trouve qu'il est un peu abruti, assène Depardieu, il est exactement comme en 1968. Il n'a pas bougé." ! De la grande poésie
Les analyses politiques de Gérard Depardieu ne se cantonnent pas aux vergers nationaux : "L'Europe ne va pas tenir si ça continue parce que l'Amérique est en train de bousiller l'Euro, la Russie, le Brésil, l'Inde, la Chine et l'Afrique bientôt. Le dollar sera à parité avec l'Euro. (...) Les Italiens, les Espagnols et les Portugais sont cuits. Comment voulez-vous que l'Europe puisse intégrer l'Ukraine, alors que Monsieur Obama fait tout pour arrêter ce putain d'Euro qui l'emmerde !"
Et de conclure qu'il reviendra en France, "un pays magnifique", mais "dirigé par un bonhomme qui se fout de la gueule du monde. En tout cas, c'est quand même lamentable",
Oui mais revenir en France pourquoi faire ? Pour en finir avec l'exil fiscal ?
