Pour commencer par un sourire ironique : ricochet de la guerre d’Espagne mâtiné d'un zeste de dérision toute gasconne, jusqu’à 20 ans mon territoire tyrossais étais borné à 25 kilomètres au nord par Dax et au sud par Bayonne.
Jézeau dans les Hautes Pyrénées était ma seule escapade estivale (colonie de vacances des Landes au départ de Mont-de-Marsan).
Et aujourd’hui le continuum historique de ma famille nous a envoyé en Martinique puis à Taiwan !
Au passage merci à mon camarade CGT, Ambroise Croizat, pour notre jubilación arrachée grâce aux Jours Heureux ! Simple rappel pour tous les amoureux de souche de ce parti fasciste de l'Exclusion Nationale dont leurs parrains préféraient Hitler au Front National.
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On le sait le capitalisme privée ou d'état produit et marquète n’importe quoi du moment qu'il se fait du blé sur notre dos.
Le vide, l’eau, l’éducation, la culture, la vieillesse, tout y passe !
Ah oui ! le capitaliste malin a même inventé le Prix du mérite ou la médaille du Travail qui symbolise la reconnaissance de la servilité !
Et pour nous les fils d’ouvriers, descendants d'étrangers de surcroit, la conscience professionnelle !
Pour sa danse des canards, il a confié le soin aux serviteurs de la démocratie représentative d’annihiler les soubresauts sociaux ou les quintes de toux à des ilotes casqués aux ordres !
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Pour ceux qui s’intéressent à la chose, je me permets de conseiller la lecture du livre Marx, ô Marx, pourquoi m'as-tu abandonné ? de Bernard Maris qui fut assassiné le 7 janvier 2015 dans les locaux de Charlie Hebdo.
L'Oncle Bernard était un excellent vulgarisateur de Marx, enfin moi j'aimais bien !
Si vous n'avez pas lu une seule ligne de Marx ou de Maris, qu'est que je voulais que je vous dise ? C'est triste !
De quoi parlez-vous ? du beau temps ? du changement climatique ?
Après tout c'est votre problème ...
Venons-en aux textes !
Le premier livre PDF Etienne Descoustey et le Falanstèri creolizat de Sent Pèir, vous pouvez l'ouvrir en cliquant sur ce lien
etienne-descoustey-et-le-falansteri-creolizat-de-sent-peirCe reportage en Martinique, raconte aussi l’arrivée du matelot gascon Etienne Descoustey sur le croiseur Le Suchet, le lendemain de la catastrophe de l’éruption du volcan de la montagne Pelée en Martinique. C’était aussi mon arrière-grand père !
Je l’avais écrit déjà avec ce titre : Le Marin gascon et la Pelée, mais j’ai actualisé la première version avec son titre en gascon (écrit par ma sœur) pour le rendre plus historique et politique que la première version.
Caroline croisée en 2023, le long du lac du Soleil et de la Lune à Taiwan raconte la vie de ses lointaines cousines, les cistudes, rencontrées dans les Landes, puis à Guernica ou Gerinika et même Taipei au musée de la paix ! Incroyable , j'irai faire les Barthes de l'Adour à Bayonne et à Daxpour voir si j'en photographie !
J'ai pris beaucoup de plaisir à écrire ces histoires mais il y a un temps pour tout, je reviens à l’histoire pure et dure.
les-cistudes-de-la-landes-perdueCertains d’entre vous diront " il a enfin compris qu’il nous gonflait avec ces mails ! ".
Ok, ok, je retourne à mes amours : Histoire et CGT !
Désolé de n’être qu’un simple citoyen du monde descendant de Toumai, alors les premiers de cordée ou les philosophes de baby-foot ne m’intéressent plus !
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Alors que me chaut ou froid ce monde formaté, je rentre définitivement dans ma tanière pour étudier l’histoire !
Quelques précisions, pour ceux qui ont réussi à ouvrir les PDF.
Juan Gonzalo qui intervient en Martinique et à Taiwan est un personnage de papier (mon camarade Jean-Claude a un jour accepté de prêter son image pour le représenter contre un verre de blanc mais du bon et à température adéquate pour le déguster !).
François Laruna aussi et Julien Hélias !
Précision Gonzalo est issu de Gonzales, qui est le nom de Luis Mariano car pour la petite histoire, grâce à Nico, l’ami de l’ACER et en compagnie de Cathy et de Dolorès nous avons parcouru la rue des Douanes à Irun où vivaient mes grands-parents voisins et amis des Gonzales avant le début l’intervention criminelle de Franco en Espagne en 1936 !
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Autre précision, j'ai repris mon original Etxeberria-Lanz pour ne pas gêner ma Famille avec le " Echeverria ", une fois que mon père a été naturalisé français sur les conseils de ma mère le 3 mars 1971. Mais ça je l'ai déjà expliqué dans un billet précédent .
Ma mère ne voulait que nous soyons embêtés ma sœur et moi avec nos origines incertaines ! Vous imaginez à présent avec tous ces tordus de souche ! Elle était loin de s’imaginer que l’ordure Pétain avait niqué avec le fascisme pour enfanter ces horreurs actuelles !
Etxeberria-Lanz est donc devenu mon nom dans la clandestinité lorsque j’écrivais dans des revues inhabituelles de mes traditionnelles (souvent CGT mais pas que !).
Enfin Christian, le mari de Solange m’avait alerté à Saint James en Martinique : « Pourquoi publier alors que tu ne veux pas en faire de pub ? ».
Comme il avait raison, ce n’est pas le texte qui est le plus compliqué à faire, c’est le déroulement de la suite, relecture, validation de l’impression, etc …
Pour conclure : ces romans de l’incertitude créolisée depuis la fuite de mon père de l'Espagne, je voudrais commencer par remercier Fafou, ma grande sœur, et Jean-Pierre, mon camarade et ami, qui m'ont bien aidé dans ces écritures dans un français académique en corrigeant mes textes farcis de mots écrits par mon étourderie légendaire.
Je me souviens avoir défini la frontière comme limitroff (j'étais aux Jeunesses Communistes à l'époque en Première au lycée, ceci explique cela ! ) entre la France et l'Allemagne au lieu de limitrophe.
La prof, adorable par ailleurs, avait ajouté en rouge dans la marge en dessous de l’excellente note qu’elle m’avait attribuée :
“ Serait-ce de l'Euskara ?”, la fameuse langue basque qu'on avait oublié de m’enseigner comme la gasconne d'ailleurs, mes ouvriers de parents avaient d'autres chats à fouetter la 7CGT primant sur tout.
A Tyrosse plus tard quand nous étions les quatre à table, mes parents et ma grand-mère, nous étions tous les quatre syndiqués à la CGT !
On faisait du 100 % aux élections à table au moment de déguster le fois gras et le confit confectionnée en famille !
Et toc dans ta gueule le formatage du palais bourgeois !
Je voudrais remercier tous ceux qui m’ont accompagné en randonnée sur les chemins torturés de l'Histoire.
Alors, merci à tous les Juan, Sandro, Alex, Fred et Kepa qui m’ont ouvert les chemins des Landes, des Pyrénées, de l'Ardèche, de la Martinique et de Taïwan.
J'ai toujours considéré que l’écriture naît d’une dérive poétique liée à la marche reclusienne.
Pour commencer, je salue Jean-Michel dit Jean-Mi qui a assumé plusieurs rôles dans ces différents livres.
Je lui dois aussi la remarquable couverture du premier livre Andoni La fuite car il fallait avoir la présence d’esprit de déclencher son appareil numérique au moment où j’allais glisser et me ramasser dans la montée enneigée du Txindoki !
Ensuite vient Peio, le beau-père, à qui je dois la découverte complète de la montagne basque des deux côtés de la frontière, et ceux que je continue de fréquenter à des altitudes aujourd'hui plus modestes.
Suivent les Historiques du Trinquet de Saint Brice la Forêt : Pascal, Éric, Txomin, Xebo et Txema.
Sans oublier Jésus le petit navarrais récemment mis en piste et Jean-Louis le cadurcien discret !
Les Imprévus de Sandra la Pom-Pom-Girl dixit Jordi
José, mon camarade CGT qui m'a expliqué le non-dit de la puissance coloniale sur l'esclavage !
Mes autres camardes CGT de toutes les fratries unissez-vous dont Roland et Tatave bien sûr, tous ceux, ( les filles surtout comme Louise Michel ) qui ont mis à terre le Fakir du Plumaçon, il y a bientôt 30 ans et mes actuels dont le célèbre Jojo Marcheprim qui côtoyé mon maitre et mon dieu de la Kréolisation, Édouard Glissant !
Si j'ai oublié des copains, pas grave je leur paierai un coup.
Pas obligé d'attendre de s'estanquer devant un château ruiné par mes camarades révoltés : les Jacques n'est pas Mikel et Jean ? Voilà c'est la fin du romanesque, retour à la réalité !