Agrandissement : Illustration 1
Mercredi 18 décembre, Journée internationale des Migrant.es.
Le meeting unitaire à Paris est bourré à craquer. Plus de 500 personnes. Pour écouter les représentant.es des Collectifs de Sans-papiers. Les représentantes des grévistes de Chronopost et Campanile. Les représentant.es des Jeunes mineur.es qui occupent la Gaité Lyrique. Les étudiant.es sans-papiers, les femmes du 93 en lutte pour leur hébergement.
Au même moment une deuxième vague de manifestations a lieu dans plus de 30 villes. Après celles du samedi 14 décembre.
Agrandissement : Illustration 2
Ce meeting s’est conclu par un appel commun des deux cadres qui ont appelé à ces manifestations, réunissant ainsi l’appel lancé par la Marche des Solidarités et les 300 organisations signataires avec les Collectifs de sans-papiers et de jeunes et les syndicats et associations réunis sous l’appel « Né.es ici ou venues d’ailleurs ».
Agrandissement : Illustration 3
Appel à construire ensemble la riposte en élargissant le soutien aux luttes en cours et en construisant les conditions d’un mouvement de luttes pour gagner des régularisations et l’égalité des droits.
Agrandissement : Illustration 4
Notre colère est immense comme l’océan. Déterminée comme le froid qui mord. Forte comme le vent.
Cette déclaration doit maintenant être mise en œuvre. Pour que l’espoir l’emporte sur l’impuissance.
Agrandissement : Illustration 5