Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
Suite à la harangue de Julia Gillard, la Première Ministre australienne, envers son leader de l'opposition Tony Abbot dont elle a rappelé le “track record” (la liste, le palmarès) de ses déclarations sexistes et misogynes, d'aucuns (surtout des opposants politiques) ont contesté l'usage qu'elle a fait de ce mot « misogyne ». Pour une traduction de l'épique épisode, voir mon billet précédent. La signification réelle de ce mot serait une « haine » (mon Petit Larousse me dit : hostilité) systématique envers les femmes. Alors si les dictionnaires semblaient donner raison aux détracteurs de Julia Gillard, ce ne sera dorénavant plus le cas, car à la suite de la (belle) intervention parlementaire de la Première Ministre, le principal dictionnaire australien, le Macquarie Dictionary, vient de se mettre à jour. Être misogyne ce peut être aussi faire preuve de préjugés trop arrêtés envers les femmes. Plus en détails sur le site du Guardian. Je n'aurai que quatre mots : Encore bravo Julia Gillard
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